. Iconographie chrétienne; histoire de Dieu. le est tirée de lAnliquilé expliquée de Mont-faucon, tom. I, pi. 54, p. 118. Lucien dit également que la tète de la déesse syrienneétait rayonnante : Ètti ti; KSipaXfj àrnlvas Çépei. — Ciampini ( Vet. monim. pars 1°) dit :« Publ. Victor, in colosso Solis, quem Zenodorus Neroni dicavit, de quo Plin. cap. xxiv,« lib. VII, Septems caput ejus radiis coruscasse tradit, quorum singuli viginli duos pedes« et semis in longiludine pracstabant. » — On fera atlenlion que le nombre des rayons quientouraient la tète du Soleil colossal de Zénodore est précisément
. Iconographie chrétienne; histoire de Dieu. le est tirée de lAnliquilé expliquée de Mont-faucon, tom. I, pi. 54, p. 118. Lucien dit également que la tète de la déesse syrienneétait rayonnante : Ètti ti; KSipaXfj àrnlvas Çépei. — Ciampini ( Vet. monim. pars 1°) dit :« Publ. Victor, in colosso Solis, quem Zenodorus Neroni dicavit, de quo Plin. cap. xxiv,« lib. VII, Septems caput ejus radiis coruscasse tradit, quorum singuli viginli duos pedes« et semis in longiludine pracstabant. » — On fera atlenlion que le nombre des rayons quientouraient la tète du Soleil colossal de Zénodore est précisément le même que celui dujeune Soleil dont nous donnons la gravure; cbaque rayon allume une planèle dont lesoleil est le cenire. Léloile de Jules César, dit Suétone, brilla sept jours de suite. ICONOGRAPHIE CHRÉTIENNE. 39 rieur de la circonférence. Ici la circonférence est en dedanset les rayons en dehors : cest absolument lopposé. 10. NIMBE FRANGE DE QUATORZE RATONS Pierre gravée, premiers siècles chré La circonférence du nimbe est ordinairement marquée parune ligne circulaire continue, par un cercle parlait ; cepen-dant , chez les Romains surtout - et chez les Indous \ cette Cette figure est tirée dune pierre gravée dite AbraxaSj amulette à lusage des gnos-liques. Cest une espèce de divinité panthée. Ce génie du monde est céleste par le soleil etla lune qui brillent dans le champ où il est gravé, terrestre par sa lête de lion , aquatiquepar sa queue de reptile, divin par son nimbe rayonnant de deux fois sept Irails lumi-neux. Voyez lAntiquité expliquée de Montfaucon , tom. IV, p. 862. Voyez des médailles du temps des Anlonins ; elles portent sur le revers un oiseau, lephénix, symbole de limmortalité. Cet oiseau, qui renaît par le feu , porte la tête nimbéedun nimbe en zigzag à la circonférence. Sur des médailles de Faustine, lEternité tientà la main un paon nimbé de même. Ce qui est curieux, cest quun manuscr
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