. Sceaux armoríes des Pays-Bas et des pays avoisinants (Belgique--Royaume des Pays-Bas--Luxembourg--Allemagne--France) recueil historique et héraldique. raticjuèrent. En voici ([iielciues exemples : Gilbert Amman, coseigneur de s firavenwosel, |)niU, en \2.)-2, sur nii écii,trois écussons écartelés et ; Gilles van Bercheni, 1311 : un écu, a la bordure engrélée, trois écussonsde Bercbem ; la présence de cette bordure permet dinlérer quun autre Rercliem,peut-être le itère, de Gilles, portait cet écu aux trois écussons plein ; Jac(iues de Braine, l^.IU : un écu à trois écussons dKngli
. Sceaux armoríes des Pays-Bas et des pays avoisinants (Belgique--Royaume des Pays-Bas--Luxembourg--Allemagne--France) recueil historique et héraldique. raticjuèrent. En voici ([iielciues exemples : Gilbert Amman, coseigneur de s firavenwosel, |)niU, en \2.)-2, sur nii écii,trois écussons écartelés et ; Gilles van Bercheni, 1311 : un écu, a la bordure engrélée, trois écussonsde Bercbem ; la présence de cette bordure permet dinlérer quun autre Rercliem,peut-être le itère, de Gilles, portait cet écu aux trois écussons plein ; Jac(iues de Braine, l^.IU : un écu à trois écussons dKngliien (émaux?), alorsque son frère, .Soliier, sire de SenelTe, brise Enghien (émaux?) dun lambel; Gauthier de Nethen, 1501, 1303, lôlo ; un écu à trois écussons de Nethen(comme Redinghen), brisés, chacun, sur la fasce, de trois coquilles; Hellin, sire de Cysoing, ber de Flandre, 1289 : un écu à trois écussons deCysoing; ,lean, sire dEre, iUli : un écu à trois écussons dEre. Ces deux derniers, étant chefs de leur maison, avaient évidemment le droit deporter plein, comme tous les antres sires de Cysoing et ceux Sceau de Jean, sire dKre, 1274 ; de ... à trois ocusson?, cljaciin a trois palset, à la fasco dhermino brochante. Citons encore, dans le même ordre ilidées, lexemple de .lean Miiu\boingeois de Liège, 1293, qui pose, dans le champ de son sceau, troischarg(!s, chacun, dune fasce accompagnée de trois (2, 1) mades. Du cimier. cimier nappnrnit sur les sceaux quau xmi siècle; mais, à cette époque, sonemploi est assez irréiçulier : les uns le portent, les autres nen ont pas ou bienen changent selon leurs caprices, (e nest que dans le courant du xiv siècle quilsétablit plus de lixité à cet égard : le cimier commence à devenir héréditaire,mais encore voit-on, (pieliiuelois, les lils, surtout les cadets, en prendre un autreque le chef de la famille. Dans les sceaux équestres, le cimier se retrouve souvent sur le chanfr
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