Oeuvres . on» A mes pîeds sabaîfle Cerbeff^3ai calmé fa rage ordinaire *Ses regards ne menacentpius ;Ses oreilles font attentives;Et de fes trois gueules oifiveSsLes hiirlemens ibnt fufpenduï^ ^fi P I ï r> X R ? Quels prodiges ma Lyre cau(e lSifiphe ctonné fe repofe,Son rocher vient de sarrêter :Et je vois chaque DanaideDemeurer fur leur tonne vuidôImmobile pour mécoutero Jufquau petit fils de Saturne,Minos perd le Coin de fbn Urne 5Occupé de mes fons vainqueurs»Je vois les Parques attendries :De leurs mains même les FuriesXâifîent tomber les feux vengeurs? TOURElLy cejl ainfi quau TépatelX


Oeuvres . on» A mes pîeds sabaîfle Cerbeff^3ai calmé fa rage ordinaire *Ses regards ne menacentpius ;Ses oreilles font attentives;Et de fes trois gueules oifiveSsLes hiirlemens ibnt fufpenduï^ ^fi P I ï r> X R ? Quels prodiges ma Lyre cau(e lSifiphe ctonné fe repofe,Son rocher vient de sarrêter :Et je vois chaque DanaideDemeurer fur leur tonne vuidôImmobile pour mécoutero Jufquau petit fils de Saturne,Minos perd le Coin de fbn Urne 5Occupé de mes fons vainqueurs»Je vois les Parques attendries :De leurs mains même les FuriesXâifîent tomber les feux vengeurs? TOURElLy cejl ainfi quau TépatelX>e Jes airs le divin PindareCharmait Proferpine & les morts*Mais non, tù connais trop fa Lyre ^Non , tout ce que tu viens de lire j,ifejl qiië Vombré de/es accords» ïtTX Enfer StO î que nai-je ce goût fuhlime ,Ce génie ardent qui t^anime,Ce choix qui brille en tes écrits !Tauroist dans une Ode immortelle ySi bien imité morimodèle >Que tesjr eux sj fer oient mépris^ i3j. AVIS. Ette Ode efl imitée de la qtia^^ torziéme Olympime de Pirida^re, où après avoir cékbrè les Grâces^il les prie de charaer avec lui la gloiredAfopicy & pyejje la Renommée depénétrer au Palais de Proferpine, poury apprendre à Cléodame la nouvelle,Vî^oiredefonjih^ 5Sf aooK ««auenJEsoesaS LES GRACES. ODE ^2 S, y3. S» MONSEIGNEUR LE DUC DE FENDÔME. DE E s s E s, jadis adoréesDans des abondantes contréesOù Céphife roule Tes eaux :Que mon hommage vous attire,Grâces , venez toucher ma Lyre «Et tire2;-en des Tons nouveaux. Par vous une (a) troupe la Toîfon brillanteQue gardoit le Dragon de Mars :En vain fon haleine enflammée,Et Ces dents, mères dune armée»En étoîent les affreux remparts. (,a) Lis Argonautes. tfê Les g r a c e 5i Par une puiflance fecrette «r?u cœur de la fille dActe )Vous^ fîtes triompher Jafon :yous lui prêtâtes tous vos charmes $Et bien-tôt le Scythe en allarm&sPerdit Médée & la Toifon» LAmour vous doi


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