. Le pegme de Pierre Covstav . propos les anciens difo*ientque Themis DecfTe tenant lamain aux veus deshumains,a pla*ce au ciel près Iuppitcnà fin que par rai*fon perpétuelle elle re tard aftlim port unité de ceux qui demandent à Dieu chofesnon raifonnables. Laquelle pefte dhom*mesdetâtmefembleplus côtraireaunôCrétien,dautant quilzont opiniô queDieufemôtre enclin Se fauorable à nozcôuoitifes Se mechâcetés ♦ Car quel iugemet peut faire de Dieu celuy,qui ofe fairela diuinité côpaigne de leurs crimes Se delits: que quafi par fon moié ilz ioifsét deleursdefirs infâmes ôC mal honétes. Etceux qui de


. Le pegme de Pierre Covstav . propos les anciens difo*ientque Themis DecfTe tenant lamain aux veus deshumains,a pla*ce au ciel près Iuppitcnà fin que par rai*fon perpétuelle elle re tard aftlim port unité de ceux qui demandent à Dieu chofesnon raifonnables. Laquelle pefte dhom*mesdetâtmefembleplus côtraireaunôCrétien,dautant quilzont opiniô queDieufemôtre enclin Se fauorable à nozcôuoitifes Se mechâcetés ♦ Car quel iugemet peut faire de Dieu celuy,qui ofe fairela diuinité côpaigne de leurs crimes Se delits: que quafi par fon moié ilz ioifsét deleursdefirs infâmes ôC mal honétes. Etceux qui demandét a leurs amis quelquechofe contre la loy, ilz ont opiniô deuxquilz sot tenus de pareille erreur parceqsilz péfoiét quilz fufTent gens dhôneurÔC de vertu fans faute ne fe mettroient aucertain dâger dêtre refusés. Ce que nousdeuonsaméme raifon iugerdeceux quifont prières a Dieu en chofes tat belle perfuafiô ont ilz du Dieuimmortel,quâd ilz le font no feulemêt té* X--. moi,maisaufsi participât de leurs mechates affections. Et fi Lfucrit a déprisé auxfies les chofes cxternes,de quel vifage luydemanderas nous plus ample Se libéralefortune. Or eft û que ceux qui enrre nousfont eftimés les plus fages,pëfrnt auiour*dhuy faire plaifcr a Dieu, silzluy demangj dent auccques force de reins ÔC de voix, quefonbôplaifirfoit que leurs enfans deuiennct riches. Chofe certes peu euangelique mêmes par le témoignage des faintesletres. Car comme difoit lefucrit, celuyqui entre nous eftleplus excellent, quilfoit cômele plus îeune. Ce que ie ne veusétreditpour reuoquer les ambitieus ducours des hôneurs& dignités. Car befoineft qu il en foit aucus qui cômâdet,cx: aucunsquiobeiisentrmaisieledis a ce quetous conoifsët q telz defirs populaires nepleurctiamaisauxgrâdsefpns. Si quel*cunafuccefsi5nouuelle,deuât q dallerchez le commiiTaire pour partager 6C di*uiferl héritage auec fes cohéritiers lours. ôC nuits il eftenorai


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