L'histoire naturelle éclaircie dans deux de ses parties principales, la lithologie et la conchyliologie : dont l'une traite des pierres et l'autre des coquillages : ouvrage dans lequel on trouve une nouvelle méthode & une notice critique des principaux auteurs qui ont écrit sur ces matiéres : enrichi de figures dessinées d'après nature . [es leis qui peuvent tera ar^cnuadétruire la couleur bleue des Coquilles, devroient aufîî dé- ^^ ventertruire celle de ces Poilfons. fitïïp;/: Les Coquillages qui vivent fous le fable ou dans la boue, ,pourroient sapeller CoqitilLtgcs à , parce


L'histoire naturelle éclaircie dans deux de ses parties principales, la lithologie et la conchyliologie : dont l'une traite des pierres et l'autre des coquillages : ouvrage dans lequel on trouve une nouvelle méthode & une notice critique des principaux auteurs qui ont écrit sur ces matiéres : enrichi de figures dessinées d'après nature . [es leis qui peuvent tera ar^cnuadétruire la couleur bleue des Coquilles, devroient aufîî dé- ^^ ventertruire celle de ces Poilfons. fitïïp;/: Les Coquillages qui vivent fous le fable ou dans la boue, ,pourroient sapeller CoqitilLtgcs à , parcequils ont unou deux tuyaux charnus plus ou moins longs, félon que ces-Animaux senfoncent plus ou moins dans le (able, Ceft pai? Ï44 La CoNCHYLiOLocii:, II. Partie. ce moyen quils Te confervent une communication libre avec leau qui efî au-deiïus deux. Les gros PoilFons à coquilles font la plupart attachés lesuns aux autres, tantôt fur des pierres, tantôt iur des cail-loux, fouvent au fable même ; une gluë qui fort de leur corpsfait toutes ces liaifons ; dautres ont de grofles pattes pour lecramponner fur les mêmes objets. Il y en a qui fe fervent deleurs langues, pointues ôc tranchantes, pour senfoncer dansJa vafe 6c dans le fable ; ceft par ce moyen que ces Animauxi:efifteiit à la violence des flots de la CHAPITRE La Conchyliologie, II. Partie. 14; iïlt5:^iild^i!il3^ï!it3^^i ^_ CHAPITRE QUATRIEME- De quelle manière Je forment les Coquillages des Tleu^ ves j des Rivières , des Lacs , des Etangs, des Marais (^ des Canaux. LA {a) mer, par la qualité & la force de ks eaux four- [a\ Longénie infiniment plus de Coquillages & plus grands & plus P^*.* »:beaux , que tous les Meuves, les rivières &, \t^ lacs pris en- quam in flu-femble. Ces Coquillages deau-douce^ moins épais Se moins és dans leurs genres & dans leurs efpéces, nont ordinal- 1*,?^ flP! _ o L cur oicrsco- rement que deux cornes, au heu quon en voit quatre dans der


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