. comptesrendusheb1381904acad. es naturelles. SÃANCE DU 1 JANVIER 190/1. /^ '. Nous avons pnrtagé ces observations en 2 groupes : A contenant les résultais de b8i ballons; B formé seulement des i4t ascensions qui ont atteint 1 altitude .le i/,-''". Voici les températures obtenues de 5oo- en 5oo⢠pour les couches basses, puis par kilomètre de hauteur. Températures de l'air. Altiturle. Sol 5oo⢠. I 000 .. 1 5oo ... 3 000 .., 2 ïoo .. 3 000 ... 3 5oo .. 4 000 .. 4 5oo .. 5 000 ... 6 000 ... 7 000 ... 8 000 ... 9 000 .. 10 000 ... 11 000 .,. 12 000 . .. i3 000 . .. 14 000 .. .. - 3,7
. comptesrendusheb1381904acad. es naturelles. SÃANCE DU 1 JANVIER 190/1. /^ '. Nous avons pnrtagé ces observations en 2 groupes : A contenant les résultais de b8i ballons; B formé seulement des i4t ascensions qui ont atteint 1 altitude .le i/,-''". Voici les températures obtenues de 5oo- en 5oo⢠pour les couches basses, puis par kilomètre de hauteur. Températures de l'air. Altiturle. Sol 5oo⢠. I 000 .. 1 5oo ... 3 000 .., 2 ïoo .. 3 000 ... 3 5oo .. 4 000 .. 4 5oo .. 5 000 ... 6 000 ... 7 000 ... 8 000 ... 9 000 .. 10 000 ... 11 000 .,. 12 000 . .. i3 000 . .. 14 000 .. .. - 3,7 - 8,3 -i3,6 -16,7 -â¢9,8 -26,4 -33,6 -4o,8 -47,4 -52,9 - 6,0 - 8,7 -10,9 -)4,2 -17,0 -23,7 - 31,5 -39,0 -46,9 -54,0 -57,9 -57,9 -56,9 -55,5 Printemps. A. 5,1 5,1 3,4 0,1 2,6 Klé. 4,7 H- 0,1 â 2,1 3,9 - 4,3 â 6,4 â 9,3 â12,2 -l5,2 â 18,5 â 20, 2 â 32,0 â 39,0 â46,7 â 02,7 ^53,6 â53,1 â53,2 â02,5 - 7,4 â 10,0 â13,0 -16,0 -19,3 -26,0 -33,1 -4o,r -47, ⢠-5o,9 -t-i3,5 H-i3,9 -Hii,8 + 9,2 -I- 6,8 -f- 3,3 -^ ',7 â 0,4 â 3,4 â 5,9 â 9,3 â15,3 â 22,3 â29,9 â37,9 â45,2 B. -f-i3,o -m3,6 + 11,8 + + 7-3 -y- 5,0 + 2,1 + 0,2 - 2,7 - 5,3 - 8,3 ,8 â ^21,7 -29,3 â38,0 -45,3 â5o,3 -5a,7 â5i ,5 -5i ,3 Automne. A. H- 8,0 -h 8,3 -(- 6,4 + 3,4 + 2,3 -I- O, I -4,7 â10,2 -â¢3,4 -'9,s â26,8 -34,1 -4i,8 -48,3 B. - 7,5 â 7,7 ⢠6,1 4,0 2,2 0,4 1,7 4,2 â 6,5 â 9,3 â 13,4 -ia,7 â25,8 -33,5 -48,3 â54,4 â57,1 -57,1 -57,1 » On voir, sur ce Tableau, combien la décroissance moyenne de tem- pérature est faible dans les couches basses où elle présente, à une hauteur vanab e avec la .saison, un minimum dû à la condensation des nuages et aux phénomènes d'inversion. Tout d'abord, il faut rappeler que, si les eflets de détente et de compression de l'air n'entraient pas en jeu, la répartition verticale de la température serait très différente de celle qu'on observe. C est, d'adleurs, ce qu'on
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