Oeuures morales et diuersifiees en histoires, pleines de beaux exemples, enrichies d'enseignemens vertueux, & embellies de plusieurs sentences & discours Lé tout tiré des plus signalez & remarquables autheurs grecs, latins & françois, qui ont escrit de tout temps, pour l'enseignement de toutes personnes, qui aspirent à vertu & philosphie chrestienne Reueues, corrigées & augmentées de plus des deux tiers, outre la precedente impression . eftoient vouez & tefmoigne, que le nombre de ces bons religieux eftoic Cic.»» oratfort grand eu Sicile. Strabo dit dauantage, que les Arme-^y
Oeuures morales et diuersifiees en histoires, pleines de beaux exemples, enrichies d'enseignemens vertueux, & embellies de plusieurs sentences & discours Lé tout tiré des plus signalez & remarquables autheurs grecs, latins & françois, qui ont escrit de tout temps, pour l'enseignement de toutes personnes, qui aspirent à vertu & philosphie chrestienne Reueues, corrigées & augmentées de plus des deux tiers, outre la precedente impression . eftoient vouez & tefmoigne, que le nombre de ces bons religieux eftoic Cic.»» oratfort grand eu Sicile. Strabo dit dauantage, que les Arme-^y<, Cluentniens auoicnt prefque tous lesmefmes Temples que les ^i„ Verr^Perfiens : mais quils auoient entre les autres, celuy de la StrahMb»deefTe Venus/urnommée x^naitU , duquel il faid fouuen- j | j ^^-^rlesfois mention, & aulTi de cefte Deelle à laquelle les Ar-méniens dedioient non feulement les ferfs &: les cham-brières , mais aufliles filles des plus nobles moifons, Il dieencore que cefte loy & couftume eftoit entre eux,quil fal-loit quelles fulTent là long temps abandonnées àpaillar-dife,vers celle deelTejiufquà ce quelles fulfent mariées. Ecquand on les marioit, nul ne faifoit refus de les prendre eamariage : ains les maris les prenoient fort ioyeufement,comme femmes facrécs. De U coufiame des Bahjyloniens touchant cefle mefmçnMCierCyi^ ditfajfaae de Burmh \ ce mejmeprepos, C H A p. Erodote le femblable des FierodoMi,Babyloniens & des Lydiens. Il dit des Ba-byloniens,que ceux qui auoient du toutdefpendu leurs biens , & qui par ce moyeneftoient tombez en pauureté , auoient de m - - ^i!^^ couftume de contraindre leurs filles, à abandonncr leurs corps à paillardife,pour fe nourrir auecelles du gain qu elles feroient par icclle. Ce mefme autheur ^^^à: aulti mention dvne loy & couftume , qui eftoit entrecuxjlaquelle luy-mefme eftime merueilleufement exé Texpoferay icy au long,comme il la raconte, pour cequ
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