Précis de la médecine pratique : contenant l'histoire des maladies & la maniere de les traiter, avec des observations & remarques critiques sur les points les plus intéressans . ans & les tempérans , les amers, &C quelque-fois les acides y les Jiomackiques & les carmina-tifs , comme aulîi les légers diaphorétiques, fontles remèdes quon emploie avec le plus defuccès. Le quinquina ny convient pas toujours ;il efl: fur-tout à craindre, lorfquon a négligédévacuer les premiv^res voies par des laxatifs& des lavemens réitérés ; cette écorce agitavec moins de danger en apozème , & afTociéeaux tempéran
Précis de la médecine pratique : contenant l'histoire des maladies & la maniere de les traiter, avec des observations & remarques critiques sur les points les plus intéressans . ans & les tempérans , les amers, &C quelque-fois les acides y les Jiomackiques & les carmina-tifs , comme aulîi les légers diaphorétiques, fontles remèdes quon emploie avec le plus defuccès. Le quinquina ny convient pas toujours ;il efl: fur-tout à craindre, lorfquon a négligédévacuer les premiv^res voies par des laxatifs& des lavemens réitérés ; cette écorce agitavec moins de danger en apozème , & afTociéeaux tempérans. Il faut enda traiter cette fièvre GENERALES, Livre L 119 comme une maladie compliquée, qui tient de pj^y^la fièvre intermittente & de la continue, & fe ».£MT,régler , pour le choix des remèdes , fur les cir-conflances qui varient dans tous les fujets : ainfi nous nen dirons pas davantage, pouréviter les redites , nous contentant davertirquil a paru depuis peu un Traité latin fur lesfièvres intermittentes & rémittentes , qui fatis-fera pleinement ceux qui pourront juger quenotre article na pas affez dé Hiv lie ^î A L A P : E s I N T E R !»fE s LA PLETHOP^E. A vie délicate , ou linteiripérance , un —* long fommeil 6ç roiUveté donnent lieu à lajiUihorc : elle peut être aufH FeSet de la fup-prefUon des pertes habituelks , tant naturellesquartificielles, & même de quelques maladiescuî font des moyens dont la nature fe lert fou-vent pour rétablir léquilibre quil doit y avoirentre les liqueurs 6c leurs vaiâeaux ; cela efteYident. Mais on aura de la peine à concevoirque les hémcrrhagies habituelles, & le fréquentufage de la faignée puilient, dans quelques fu-jets, donner lieu à la pléthore : il ny a cepen-dant rien de mieux conftaté ; ôc ceux qui ontmédité fur les ohénomenes de la nature, en fca-vent la raifon. Ils nignorent pss quà la fleurde lâge, avec une très-bonne fanté , le fang ferépare facilement,
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