. Premier congrès des cultivateurs de la province de Québec [microforme] : tenu à Québec les 24, 25 & 26 janvier 1893 : sous les auspices de la Société d'industrie laitière de la province de Québec. Agriculture; Agriculture. :]&4 ,COMPTB-EBNDU DES SÃANCES DE LA 3ÃMB SECTION. V'tt année, une abondance de nourriture fourragère. Il pourra même se faire, dans les années d'abondance fourragère une réserve de fourrages pour les années de disette. Cette réserve est indispensable, si l'on veut s'assurer d'année en année le maintien complet du troupeau que la terre peut utilise
. Premier congrès des cultivateurs de la province de Québec [microforme] : tenu à Québec les 24, 25 & 26 janvier 1893 : sous les auspices de la Société d'industrie laitière de la province de Québec. Agriculture; Agriculture. :]&4 ,COMPTB-EBNDU DES SÃANCES DE LA 3ÃMB SECTION. V'tt année, une abondance de nourriture fourragère. Il pourra même se faire, dans les années d'abondance fourragère une réserve de fourrages pour les années de disette. Cette réserve est indispensable, si l'on veut s'assurer d'année en année le maintien complet du troupeau que la terre peut utiliser. Crèches des chevaux.âLe système de crèches pour les chevaux, chez M. Barnard, est spécial et peu connu en ce pays ; une boîte d'environ 5 pieds de hauteur, 5 pieds de longueur et 2 pieds de profondeur est divisée du haut en bas, en deux parties, de manière à servir de crèches et de boîte à avoine à deux chevaux ; un trou de collier permet à chacun des chevaux d'arriver à son fourrage et à son avoine. La crèche peut être remplie soit par le haut, soit par derrière. L'avoine est d'abord donnée dans un coin de la boîte et le foin est placé à côté. Le cheval en mangeant son avoine ne peut pas se dispenser d'y mêler un peu de foin ; x:; ^ui l'obligeant de mâcher davantage son avoine et son foin, lui permet de mieux digérer et par conséquent de moins rejeter d'avoine dans les fumiers. Le second avantage consiste dans le fait que le cheval une fois entré dans sa crèche n'est pas tenté d'en sortir à tout instant et n'y trouve aucune distraction. Ainsi, point d'avoine jetée par terre, ni de foin entraîné sous ses pieds. Si la ration est donnée avec soin et sans surabondance, le cheval mange tout, ou à peu près, et ne gaspille rien. L'homme soigneux verra, tous les jours, à enlever du fond de la boîte les déchets que laisseront les chevaux. Ces r
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