. Voyage autour du monde, pendant les années 1790, 1791 et 1792, par Ãtienne Marchand [microforme] : précédé d'une introduction historique : auquel on a joint des recherches sur les terres australes de Drake, et un examen critique du voyage de Roggeween; avec cartes et figures. Marchand, Ãtienne, 1755-1793; Marchand, Ãtienne, 1755-1793; Solide (Navire); Solide (Ship); Voyages autour du monde; Zoologie; Voyages around the world; Zoology. I les mêmei se maintint SDLLLE DE ortés, pour rc à ceux de -uns d'assez QNDELLE ', IX pêcheurs Dngues aiies ol constant bien sur la. Terre dans non moin
. Voyage autour du monde, pendant les années 1790, 1791 et 1792, par Ãtienne Marchand [microforme] : précédé d'une introduction historique : auquel on a joint des recherches sur les terres australes de Drake, et un examen critique du voyage de Roggeween; avec cartes et figures. Marchand, Ãtienne, 1755-1793; Marchand, Ãtienne, 1755-1793; Solide (Navire); Solide (Ship); Voyages autour du monde; Zoologie; Voyages around the world; Zoology. I les mêmei se maintint SDLLLE DE ortés, pour rc à ceux de -uns d'assez QNDELLE ', IX pêcheurs Dngues aiies ol constant bien sur la. Terre dans non moins Afer rasent volant les lu, comme les rapports lit donner, (es, malgré ec et de la nglais Sfa- ois , et dans d'où est Les noms ii à VHiron- ouvent em. ern , pour Dcéan , elle DE ; 123 conformation des pieds qui, dans Us H'trondAles de 170 f. Mer, sont garnis de petites membranes retirées entre les J*nvi«f. doigts , ft ne leur servent que pour nager; car il semble " que la Nature n'ait confié ces oiseaux qu'à la puissance hihondemes de leurs ailes qui sont extrêmement longues et échan- ub Mer. crées, comme elles de nos Hirondelles, ils en font le même usnge pour pi ncr, cingler, plonger dans l'air, en élevant, rabaissant, coupant, croisant leurs vols de mille et mille manières, suivant que le caprice, la gaieté ou l'aspect de la proie fugitive dirigent leurs mouve- mens; ils ne la saisissent qu'au vol, ou en se posant sur l'eau, sans la poursuivre à la nage; car ils n'aiment point à nager, quoique leurs pieds , à demi membra- neux , puissent leur donner cette facilité : ils résident ordinairement sur les rivages de la mer, et fréquen- tent aussi les lacs et les grandes rivières. Ces H'iron' délies de Mer jettent en volant de grands cris aigus et perçans, comme les Martinets f sur-tout lorsque, par un temps calme, elles s'élèvent en l'air, à une grande hauteur, ou quand elle
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