. Journal d'agriculture pratique. spar lexposition internationale de la Société desaviculteurs français. Mais toute communicationavec elle avait été interceptée. Celait véritable-ment dommage, car cette exposition, la plusimportante qui ait été faite ju-^quici, nauraitcertes pas déparé le Concours ofliciel. Animaux gras — Depuis cinq ou six ans, lenombre des animaux présentés au Concours varie peu. Suivant les années, quelques animauxen plus ou en moins sont déclarés, il y a tou-jouis quelques manquants, mais ils sont peunombreux. Cette année, pour les bètes bovines,on compte un peu moins dani
. Journal d'agriculture pratique. spar lexposition internationale de la Société desaviculteurs français. Mais toute communicationavec elle avait été interceptée. Celait véritable-ment dommage, car cette exposition, la plusimportante qui ait été faite ju-^quici, nauraitcertes pas déparé le Concours ofliciel. Animaux gras — Depuis cinq ou six ans, lenombre des animaux présentés au Concours varie peu. Suivant les années, quelques animauxen plus ou en moins sont déclarés, il y a tou-jouis quelques manquants, mais ils sont peunombreux. Cette année, pour les bètes bovines,on compte un peu moins danimaux quen 1000 :par contre, il y a plus de lots de moutons ; quantaux bêtes porcines, leur nombre est presqueconstant. Sur 223 bœufs ou vaches inscrits au catalogue,une trentaine ont fait défaut, soit par accident,soit pour toute autre cause. Sur les 192 animauxfigurant au concours, plus des deux tiers, soiti:Jl, se répartissaient entre les races charolaiseou iiivernaisi (52 tètes), limousine (14 tètes).. Fifr. 4i. — (It^iiissr lie raco Nurmande. nic le -^JT jrnllol liuj, posaiil ^ Iiil< g , apparLenrinl à M. Fi:Ll\ Del.^mabrk. L-levour ;i l;3\eiix (Calvados). (lu 1 prix les Femelles «le races françaises au Concours i^^eurral ilaDiiiianx de boucherie à Paris en normande (14 têtes) et les croisements durhanis(21 tètes), pour la plupart donc la race charolaise qui, comme depuislongtemps dailleurs, lemportait par le nombre;elle lemportait aussi par les énormes poids deviande quelle représentait. Si lon peut discutersur la qualité de celte viande, et si beaucoupconsidèrent la viande du limousin et celle dunormand comme meilleures, on doit reconnaîlreque les cbarolais, à égalité dâge et à égaillédalimentation, sont, avec les croisements dur-ham, ceux qui en fournissent la plus forte pro-portion au commerce de la boucherie. (domine en 1909, cest àcelte race charolaise ouà ses croisements que
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