. Dans les marches Tibetaines autour du Dokerla Novembre 1906-Janvier 1908 . tombe avec un grand bruit de clo-chettes Si je ne savais que ce sont des rats, je crois bien que jaurais peur. 156 DANS LES MARCHES TIBÉTAINES A Shidzong, sur le Fleuve-Bleu, je voisle prince indigène, un jeune homme. Nouslavions rencontré à cheval, sur le maison est riche et animée. La chapelleest un vrai temple isolé au centre des bâti-ments. Mon appartement a déjà quelquechose de chinois et donne sur un petit jar-din embroussaillé. La mère du jeune chefest une grande femme mince, droite commeune hampe, da


. Dans les marches Tibetaines autour du Dokerla Novembre 1906-Janvier 1908 . tombe avec un grand bruit de clo-chettes Si je ne savais que ce sont des rats, je crois bien que jaurais peur. 156 DANS LES MARCHES TIBÉTAINES A Shidzong, sur le Fleuve-Bleu, je voisle prince indigène, un jeune homme. Nouslavions rencontré à cheval, sur le maison est riche et animée. La chapelleest un vrai temple isolé au centre des bâti-ments. Mon appartement a déjà quelquechose de chinois et donne sur un petit jar-din embroussaillé. La mère du jeune chefest une grande femme mince, droite commeune hampe, dans une jupe raide à mille plis,au visage long et austère, encadré de bijouxpesants. Un turban rouge est enroulé dansses cheveux blancs. On se figure ainsi lespectre de Jézabel. Nous passons le Fleuve-Bleu en bac etcouchons à Diameti, village tibétain, undes plus hauts du globe, dans les nuées. Le lendemain, nous descendons sur leplateau de Tchongtien (3000 mètres dalti-tude) où nous arrivons à la nuit tombé ne sommes quen octobre et la gelée. MON PERSONNEL


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