. Les Français peints par eux-mêmes . is à nnniede continuer sa route, il rejoint sa jietite caravane. On lentoure on le félieiic; alors seulement on sa-perçoit (|nun monclioir plein de sang soutient son a été blesse. Les é oges redoublent, on lui olfre dessoins pour le | résenl, de ni pour lavenir. lirscnsible à tout, sauf aux allrails dun verre de co-gnac : « C est te mclnr. dit-il, jai ru viieuxqucça. —En f iture, messieurs, n Puis sadressant au poslillon, el levant le coude à lahauteur du menton, de manière ,i lui faire «oniprendrela récompense qui lattend : « Tui. propre à
. Les Français peints par eux-mêmes . is à nnniede continuer sa route, il rejoint sa jietite caravane. On lentoure on le félieiic; alors seulement on sa-perçoit (|nun monclioir plein de sang soutient son a été blesse. Les é oges redoublent, on lui olfre dessoins pour le | résenl, de ni pour lavenir. lirscnsible à tout, sauf aux allrails dun verre de co-gnac : « C est te mclnr. dit-il, jai ru viieuxqucça. —En f iture, messieurs, n Puis sadressant au poslillon, el levant le coude à lahauteur du menton, de manière ,i lui faire «oniprendrela récompense qui lattend : « Tui. propre à rien, rat-trape le temps perdu. sauions-nuus! » Le père François ne>t pas le seul qui eût agi ainsi. Des circonstances analogues ne se |iré,seiitenl c|Helropsouvent dans la vie aventureuse du conducteur, etson de-vons ment est dautant pins grand quil est moins connu,son courage dautant plus vrai quil ne lui procure au-cune gloire. Honneur donc, trois fois honneur au conducteur pursang, AB vnAi conductkii:!.
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