. Manuel d'agriculture [microforme]. Agriculture; Agriculture. 252 LIVRE DES CERCLES Fig. 149. Support pour les fèvej naines. petit échafaudage que nous allons décrire. On prend quatre grosses lattes de quatre pieds de long ; on les réunit ensemble au moyen d'un gros fil de fer passé dans le haut. On fixe également à six pouces du bas de chaque latte, un gros fil de laiton que l'on attache en lui donnant la forme d'une boucle. Au moment de faire les meulons, on met les lattes debout en les écartant sur le sol d'environ 3 pieds, et l'on passe une latte dans les boucl


. Manuel d'agriculture [microforme]. Agriculture; Agriculture. 252 LIVRE DES CERCLES Fig. 149. Support pour les fèvej naines. petit échafaudage que nous allons décrire. On prend quatre grosses lattes de quatre pieds de long ; on les réunit ensemble au moyen d'un gros fil de fer passé dans le haut. On fixe également à six pouces du bas de chaque latte, un gros fil de laiton que l'on attache en lui donnant la forme d'une boucle. Au moment de faire les meulons, on met les lattes debout en les écartant sur le sol d'environ 3 pieds, et l'on passe une latte dans les boucles, de chaque côté. Sur ces lattes servant de traverses, on en j)lace quelques-unes plus légères et l'on remplit cet échafaudage de fèves, à mesure qu'on les arrache. On peut ainsi faire des meules de 4 pieds de diamètre et de 5 à G pieds de hauteur. Les fèves y sèchent parfaitement, et après une quinzaine de jours elles sont ])retes à battre. Il y a déjù grand nombre d'années que nous pratiquons cette méthode avec grand succès. 638. Leur transport et battage.âPour transporter les fèves dans la grange, on arrache d'abord les lattes du bas, puis toutes les autres, et on les met en place jusqu'à l'année suivante. Au lieu de lattes, nous emploierons à l'avenir des morceaux de bois d'un pouce carré. Les lattes sont quelquefois troj) faibles, et il s'en brise toujours quelques- unes. Nous avons l'habitude de battre les fèves à la bat- teuse, en les engrangeant. Pour cela, nous nous servons d'une batterie (1) n'ayant que quatre dents, et nou^ laissons le plus d'espace possible entre la batterie et le cylindre de lu batteuse. (I) Nous entendons ici, par le mot ballcrir, la jnèce l\\e en fonte, armée de dents, placée en dessous du cylindre du moulin à battre, communément en usage dans nos Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitall


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