. Étude des rapports qui existent entre les systèmes pneumogastrique et sympathique chez les oiseaux . ilibredans la tonicité motrice des muscles de la région. Le glosso-pharyngien ouvre la glotte fermée par le pneu-mogastrique. Quoique je nai pu déterminer exactement quelsmuscles étaient innervés par le filet glottique, je crois pouvoiraffimer que ce nerf nest pas sensitif, ainsi que lont démontréGuYOT et Cazalis, et comme il ressort de mes expériences. [a] V. TiiÉBAULT, Bull. Soc. phil., Paris, 1891, p. 198. SYSTÈME SYMPATHIQUE DES OISEAUX. 79 Lexcitation amenant une déviation, nous avons do
. Étude des rapports qui existent entre les systèmes pneumogastrique et sympathique chez les oiseaux . ilibredans la tonicité motrice des muscles de la région. Le glosso-pharyngien ouvre la glotte fermée par le pneu-mogastrique. Quoique je nai pu déterminer exactement quelsmuscles étaient innervés par le filet glottique, je crois pouvoiraffimer que ce nerf nest pas sensitif, ainsi que lont démontréGuYOT et Cazalis, et comme il ressort de mes expériences. [a] V. TiiÉBAULT, Bull. Soc. phil., Paris, 1891, p. 198. SYSTÈME SYMPATHIQUE DES OISEAUX. 79 Lexcitation amenant une déviation, nous avons donc unnerf moteur dilatateur qui renforce le à disparaître ce muscle, au moment de laction toni-que des muscles du larynx, le point oîi il aurait dû agirsera entraîné du côté de la plus grosse masse musculairequi le sollicite puisquil est inerte. Cest ce qui arrive en effet : ce qui se traduit par la fer-meture irrégulière de la glotte, doù la ligne en zigzags queprésente la fente gloltique par labsence de juxtaposition desdeux lèvres de Fig. 4. — n. IX, Nerf glosso-pharyugieii. — n. X, Nerf pneumogastrique. — Gaoglion dAndersh. — A?iast. de Stnder. Anastoinose de Stadenui. —n. X, Nerf pneumogaslrique. —An. vag. hyp. : Anastomose vago-hypoglotlique.— n. A7/, Nerf grand hypoglosse. — 7t. lar. Nerf laryngé supérieur.— Oshijoïde, Os hyoïde. — n. hijoidien. Nerf hyoïdieu. — /. hi/po, Filet hypoglot-tique. — n. nyr. Nerf syrien supérieur. Léquilibre cependant se rétablira vite. Cest ce quia per-mis à Couvreur de me dire, dans une lettre particulière, quecelte déviation de la glotte navait pas dinfluence au pointde vue respiratoire, ce qui est également mon avis. La section des nerfs laryngés et du iîlet glotlique ne pro-duit aucune modilication de la voix, du moins chez les Oi-seaux, puisque Sedillot a observé quelques variations chezle Chien («). La Poule
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