Theatre de Favart; ou, Recueil des comedies, parodies & opera-comiques qu'il a donnés jusqu'a ce jour, avec les aires, rondes & vaudevilles notés dans chaque piece . faoul, Sois comme un ma-tou Qui court le guil- #- M li»f LpIttI-h dou, Ou comme un hibou, Gémis dans ton JEANKCT* GUILLAUME. 3Ei~h4zî:. txou. AH ! je frif- Tonne. JE taband onne : îu T- ££= 4r prendras la forme dun loup-garou , Et le diable a- ,(g)^ Ë^3Ë près te tordia le ÇOU6 B iî âo LES ENSORCELÉS; JEANNOT. Mifêricorde ! je ne veux plus voir Jean-nette. G UI LLAUME. Ceft le bon parti. JEANNOT. Mais fes charmes mattireront encore
Theatre de Favart; ou, Recueil des comedies, parodies & opera-comiques qu'il a donnés jusqu'a ce jour, avec les aires, rondes & vaudevilles notés dans chaque piece . faoul, Sois comme un ma-tou Qui court le guil- #- M li»f LpIttI-h dou, Ou comme un hibou, Gémis dans ton JEANKCT* GUILLAUME. 3Ei~h4zî:. txou. AH ! je frif- Tonne. JE taband onne : îu T- ££= 4r prendras la forme dun loup-garou , Et le diable a- ,(g)^ Ë^3Ë près te tordia le ÇOU6 B iî âo LES ENSORCELÉS; JEANNOT. Mifêricorde ! je ne veux plus voir Jean-nette. G UI LLAUME. Ceft le bon parti. JEANNOT. Mais fes charmes mattireront encoremaugré moi ; vous fçavez quun forcilégeeft pus fort que nous ; fi jmettions du felfur moi, Monfieur Guillaume ? GUILLAUME. Tu ne ferois pas mal. JEANNOT. A propos de ça : jai entendu dire quon pouvoit renvoyer un fort fur celui qui la letté. GUILLAUME. Cela fe peut. JEANNOT. Apprenez-moi donc à renvoyer un fort,Monfieur Guillaume. GUILLAUME. Voilà ce quil faut faire : Tu tenferme-ras chez toi pendant quinze feul l PARODIE. 2t GUILLAUME. Tout feul. JEANNOT. Sans voir Jeannette ? G voir Jeannette. JHANNOT,Oh ! je nirai pas jufquà la quinzaine }Monfieur Guillaume , je ! que non. Enfuite tu mettras fous tacheminée un cœur
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