Revue de l'art chrétien . e Lusignan et dumaréchal Adam dAntioche). Voir aussi la délibérationdu Conseil des Dix ordonnant loblitération de la couronneroyale qui avait été peinte sur la tête de leffigie funérairede Charlotte, fille de Jacques le Bâtard, morte à Veniseen 1480 (comte L. de Mas Latrie, ^ies de Chypre, n° II). 2. Eug. de Rozières, Numismatique des rois latins deChypre, Paris, 1847, in-fol. 3. Comte L. de Mas Latrie, Découverte des tombeaux,etc., pp. II et 12. une suite de quatre écus, dont lun porteune croix et les autres des ondes. Les trois arcatures centrales


Revue de l'art chrétien . e Lusignan et dumaréchal Adam dAntioche). Voir aussi la délibérationdu Conseil des Dix ordonnant loblitération de la couronneroyale qui avait été peinte sur la tête de leffigie funérairede Charlotte, fille de Jacques le Bâtard, morte à Veniseen 1480 (comte L. de Mas Latrie, ^ies de Chypre, n° II). 2. Eug. de Rozières, Numismatique des rois latins deChypre, Paris, 1847, in-fol. 3. Comte L. de Mas Latrie, Découverte des tombeaux,etc., pp. II et 12. une suite de quatre écus, dont lun porteune croix et les autres des ondes. Les trois arcatures centrales ont en bas-relief un Christ en croix, déchelle troppetite, accosté des figures de la Vierge etde saint Jean, debout et de face ; dans lesarcatures extrêmes sont deux personnagesà genoux : un homme imberbe et nu-tétesur un lion couché, et une femme sur unelionne couchée. La tête de la femme estcouverte dun voile qui retombe sur lesépaules. Ce monument peut remonter à lafin duXlVe ou au XVe siè Fig. II. —Tombe dEscbîve de Dampierre. Les sarcophages se plaçaient en général,comme en France, dans une niche en formedarcature plus ou moins riche, surmontéedun fronton. Cette disposition nétait pasconstante toutefois, puisque le sarcophagedu maréchal Adam dAntioche était des-tiné à être vu au moins de trois côtés. Le plus ancien exemple de ces édiculesde tombeau être, à Notre-Dame deTyr de Nicosie, larcade à fronton aigu quisurmonte l;i tombe de labbesse Eschive deDampierre, morte en 1340. Il nest pas 436 3Rrbur t)r V^xt cljrctien. probable que cet édicule (fig. 11) ait été faitpour abriter la pierre tombale qui formeau-dessous et en avant une marche de mar-bre sur la tranche de laquelle sont gravéesleffigie et lépitaphe, et dont les extrémitésportent un blason. Le monument lui-mêmenabrite plus rien et il a été certainementmodifié ; il est placé aujourdhui sous unporche moderne qui a remplacé lanciencloître ; on a


Size: 1383px × 1808px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1850, booksubjectchristianartandsymbo