. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... supérieure; o, muscle transverse ou triangulaire; U, élévateur commun profond. au point de vue purement acousiique. Quelles indi-cations fournissent-elles dans létude pratique do laparole? U faut distinguer, avec M. Marichelle, dans lémis-sion dune phrase : 1° La diction, la prononciation proprement dite; 2° La modulation, variable, pour une langue quel-conque, suivant le sentiment à exprimer, et, pourune langue donnée, suivant certaines règles propresà chaque idiome (inlonation, rythme et accentua-tion). Considérons successivem
. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... supérieure; o, muscle transverse ou triangulaire; U, élévateur commun profond. au point de vue purement acousiique. Quelles indi-cations fournissent-elles dans létude pratique do laparole? U faut distinguer, avec M. Marichelle, dans lémis-sion dune phrase : 1° La diction, la prononciation proprement dite; 2° La modulation, variable, pour une langue quel-conque, suivant le sentiment à exprimer, et, pourune langue donnée, suivant certaines règles propresà chaque idiome (inlonation, rythme et accentua-tion). Considérons successivement ces deux points. 79-2 ENCYCLOPÉDIE DE LA MUSIQUE ET DICTIONNAIRE DU CONSERVATOIRE i Piononciation. — Il sagit| uniquement [de laforme de la période, du timbre. Daprès ce qui a étédit plus haut, cest un problème à résoudre. 2 Intonation, rythme [et [accentuâtion. — 11 y a làdes variations de hauteur,[de durée et dintensité :les appareils enregistreursnejpeuvent fournir à lex-périmenlateur (dans le laboratoire), et au maître de. FlG. 75. — VERBALE ET TIMBRE, ARTICULATION NASALE BUCCALE i>v, LA PAROLE. — Allilude vocule de supéiifiir, muscle; innominù dont les fibres sétendent en bas jusquà la m C. Preuves tirées [de la voix] solidienne {voir0= partie, chapitre premier). ..i^Bift, ?•* D. Preuves auditives. ^Superposées àlaTpliaseauditive terminale dun phonème. | ~ On est obligé davouer quon ne peut pas en four-nir de précises. Au point de vue anatomique et phy-siologique, il existe cependant de très importantstravaux dhistologie de loreille interne ;mais on est assez peu lixé sur le siègedes centres auditifs, ainsi que sur le tra-jet des fibres auditives, sur les attribu-tions fonctionnelles détaillées du nerfauditif dune pari. Et dautre part, enphysique biologique, on a réalisé unemétrique, la tonométrie ou série de dia-pasons. Cest tout ce que lon peut pré-senter comme preuves auditives, on lev
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