Les Bois-Francs . rofesseurau Séminaire des Trois-Rivières ; 1878, vicaire à Bécan-cour ; 1883, curé de Bécancour ; 1886, curé de Saint-Bonaventure dUpton ; 1893, curé de Saint ChristophedArthabaska ; 1896, curé de Saint-Grégoire de Nicolet ;, curé de St-Germain de Grantham, où il est encoreen 1925. Nous aurions beaucoup à dire sur la carrière sacer-dotale, déjà longue, de M. labbé Grenier, mais il est encoreplein de vie et de santé, et il ne faut pas louer les vivants. Nous nous contenterons donc de dire un mot sur lefait suivant de son administration de trois ans à la cure deSaint-Chris
Les Bois-Francs . rofesseurau Séminaire des Trois-Rivières ; 1878, vicaire à Bécan-cour ; 1883, curé de Bécancour ; 1886, curé de Saint-Bonaventure dUpton ; 1893, curé de Saint ChristophedArthabaska ; 1896, curé de Saint-Grégoire de Nicolet ;, curé de St-Germain de Grantham, où il est encoreen 1925. Nous aurions beaucoup à dire sur la carrière sacer-dotale, déjà longue, de M. labbé Grenier, mais il est encoreplein de vie et de santé, et il ne faut pas louer les vivants. Nous nous contenterons donc de dire un mot sur lefait suivant de son administration de trois ans à la cure deSaint-Christophe, nous voulons dire lachat dun beaucarillon de cloches, et la bénédiction très solennelle de cescloches. Il ny avait quune cloche au clocher de Saint-Chris-tophe et encore assez petite ; cétait une lacune vraimentregrettable. Mgr Suzor avait bâti splendidement, toutorganisé dans la paroisse ; M. Héroux avait acheté unorgue ; M. Buisson avait bâti le presbytère et terminélé M. LE CHANOINE ED. GRENIER LES BOIS-FRANCS 177 M. le curé Grenier comprit quil lui restait à acheterdes cloches, mais que la Fabrique ne pouvait faire cettedépense. Il se mit à rœuvre avec ardeur, visita toutes lesfamilles de la paroisse pour leur demander leur concours ;son talent de persuasion fit que tous se montrèrent géné-reux et il réalisa $ Il écrivit ensuite à un grand nombre de curés quiavaient acheté des cloches les années précédentes, afindavoir des informations sur tout ce qui pouvait lui assurerun beau carillon, le nombre de cloches, les notes, la pesan-teur, la manufacture où les acheter. Muni de tous les ren-seignements voulus, il sadressa à la maison Paccard,dAnnecy-le-Vieux, Haute Savoie, France, et commandaquatre cloches comme suit : l.ère pesant 2331 Ibs et donnant la note mi ème pesant 1647 Ibs et donnant la note fu dièème pesant 1168 Ibs et donnant la note sol dièème pesant 697 Ibs et donnant la no
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