. Tannhauser, opéra en trois actes, quatre tableaux. ACTE TROISIÈME 37 ^v ?>* f I8ABETH, après avoir vainement cherché Tannhauser parmiles Pèlerins, avec une soumission douloureuse. Il ne vient pas! Elle se prosterne devant limage de la Vier^a . rv^*^^ 0 Vierge sainte|j[ue ta grâce^ % ^^ riEnfîn m^élèvelusquâ toiT Fais que devant toi je mefface,De cette terre enlève-moi !Auprès des anges fais-moi placeAu saint royaume de la foi!Si, ierce aun songe toi mon cœur se dé si jamais désir coupable,Désir mondain en moi régna,Lesprit contrit, Tâme oppressée,J*ai sii combattre m
. Tannhauser, opéra en trois actes, quatre tableaux. ACTE TROISIÈME 37 ^v ?>* f I8ABETH, après avoir vainement cherché Tannhauser parmiles Pèlerins, avec une soumission douloureuse. Il ne vient pas! Elle se prosterne devant limage de la Vier^a . rv^*^^ 0 Vierge sainte|j[ue ta grâce^ % ^^ riEnfîn m^élèvelusquâ toiT Fais que devant toi je mefface,De cette terre enlève-moi !Auprès des anges fais-moi placeAu saint royaume de la foi!Si, ierce aun songe toi mon cœur se dé si jamais désir coupable,Désir mondain en moi régna,Lesprit contrit, Tâme oppressée,J*ai sii combattre m«i pensée !Si mon erreurNest expiée,Ah î prends pitié de ma douleur IQue ta servante humiliée Pour obtenir <îe ta faveur ^v ^ La dehvrance du pécheur] .\î! f.^-^ ? f \l^ ^^..«..--^...^.....-•.:.....,. ...^ l^i ^ Elle reste quelq?ia temps dans relève îentemeût et aperçoit WClfrâMV ^^ lui parler; du geste, elle lui impos§ silence. /^ ?( i^ WOLFRAM. -V Û. as u^|ma&^ reiîulil|W^nE]it wllfrjw^fŒu|,4*ap proche. Ile fatpour- Elisabeth, ne puis-je pas /^\ .# yV Accompagner tes pas f ^ ^ ^ fr,^^ Bile remercie du geste, en lui montrant le ciel, yh elle doitnemplir une haute mission. — Elle le prie de la laisserpartir seule. /y ?n, ?* >-;^ I II JJJ K Jl j.^i! » »T« 1 K-rî^T ^ t ^T A <»• n i.^ C^ ^/U-y. SCENE IIWOLFRAM. ès avoir longtemps suivi Elisabeth du regard, il sassied surla colline et prélude sur la harpe. Mortel présage 1 unjèrépusçulQ^ sombre Sur la vallée eTenTsoa voilé abmbi^ Et Tâme,-^^* ^0 franchir ces liautcurs, :/- ^ • f*, otientS code à ses t^rreiirsj cJ i^W» A Mais ta parais, charmante et aouôe étoile, ^ //^ jgU Ta clarté pure a dissipé le voile, f Lomtre soudain cède à ton doux rayon, *^ à^ Tu viens montrer le chemin du vallon. Il ii^ 0 douce étoile, feu du soir,Toi que jaimai toujours revoir. Dis-lui, de grâce. Adieu pour moi. Quand elle passe Auprès de ve
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