. XVIIIe Siècle, Galant et Littéraire. xquelles les grandsmaîtres nont jamais songé et qui sont de nature à fausserplutôt quà rendre claire lidée quune étude simple desartistes et de leurs œuvres nous permet de former surlorigine et le progrès des beaux-arts chez les différentspeuples aux diverses époques. la manière la plus maladroite, tandisque sous la plume habile de Weyermanelle devient un des plus beaux ornements de son livre. (**) Houbraken fait damples raisonnements sur la théorie de lart, maisavec la prétention den faire. Nous navons jamais pu débrouiller ce que cetécrivain a voulu dir


. XVIIIe Siècle, Galant et Littéraire. xquelles les grandsmaîtres nont jamais songé et qui sont de nature à fausserplutôt quà rendre claire lidée quune étude simple desartistes et de leurs œuvres nous permet de former surlorigine et le progrès des beaux-arts chez les différentspeuples aux diverses époques. la manière la plus maladroite, tandisque sous la plume habile de Weyermanelle devient un des plus beaux ornements de son livre. (**) Houbraken fait damples raisonnements sur la théorie de lart, maisavec la prétention den faire. Nous navons jamais pu débrouiller ce que cetécrivain a voulu dire en parlant théorie. Sous ce rapport son livre est unchaos de mots creux groupés, dirait-on, au hasard 11 semblerait quil sétaitformé dans sa tête une masse didées confuses, dont il accouche péniblementdans le style barbare que Weyerman lui reproche avec raison. ^^^ CtiA ftlA TiJt ttiA CtiA CXlA CtiA <\1A ctlA CXU. CtiA ttiJl ctxA (tiA C\1A ctiA. CONTES ET GAILLARDISES PREMIÈRE NOUVELLE. A jalousie met tout en usage pour venger un amourméprisé. Une jeune Dame nommée Telime, avait écouté lessoupirs dun Amant, homme de Robe, et peu contentede ben tenir aux soupirs, elle avoit bientôt rendu cetAmant heureux ; ils ont vécu quelque temps asseztranquilles, et rien ne troubloit la douceur de leurcommerce, lorsque malheureusement un jeune Sei-gneur siest avisé de faire la cour à Telime, et elle futsi charmée de cette conquête, quoubliant son premieramant, elle se livra toute entière au dernier venu ; ellene put même souffrir les reproches que lui en fit le pauvre-- dHerville, cétoit le nom du Conseiller; elle étoit étonnée quil ne connut pas quil devoit céder à un homme de la Cour :Ces raisons nappaiserent point dHerville, il chercha les moyens de sevanger de son Rival et de sa Maîtresse infidèle ; il crut en avoir trouvé unsûr, voici comme il sy prit : Il fut dans une de ses maisons oii la jeunesseachette des plaisirs qui laissent s


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