Le masque ; L'enfant de l'amour . elle assez bornée? Est-elle assezstupidement femme?. LIANE — Va donc!... Accuse-moi, ça tecomplète ! MYRTILLE et LOREDAN — Ne VOUS attra-pez pas ainsi !. RANTZ, se dégageant des bras qui es-saient de le calmer. — Cest toi qui as tou-jours été lennemie de mon activité, cestgrâce à ton influence que jai balancé suc-cessivement mon journal, mon éc«rie et mesrelations. LIANE — Cétait tout un!... Laisse-nioi,Myrtille. RANTZ — Tu voulais métouffer, oui,métouffer, pour plus à toi. Tu »5 LEnfant de lAmour 6^ lunnœuvré iH>ur nio faire abdiquer, pour mocliani


Le masque ; L'enfant de l'amour . elle assez bornée? Est-elle assezstupidement femme?. LIANE — Va donc!... Accuse-moi, ça tecomplète ! MYRTILLE et LOREDAN — Ne VOUS attra-pez pas ainsi !. RANTZ, se dégageant des bras qui es-saient de le calmer. — Cest toi qui as tou-jours été lennemie de mon activité, cestgrâce à ton influence que jai balancé suc-cessivement mon journal, mon éc«rie et mesrelations. LIANE — Cétait tout un!... Laisse-nioi,Myrtille. RANTZ — Tu voulais métouffer, oui,métouffer, pour plus à toi. Tu »5 LEnfant de lAmour 6^ lunnœuvré iH>ur nio faire abdiquer, pour , - Ce iicsf pas vnii, inni», quand ie tauraiR voulu pluA lil)re et à moi,e boau crime davoir plan tenl»»- LORÊDAN. — AllonH, aUniu, mm amu, nevoua dutputez pan, oe nest pa* le moment,que — Oui, votM dpvez, au eautrairo, tous deux, voua réjouir de ce quivous arrive et voiu> LIANE. - Ml-F le! vflnt à nette boue misôrablo!... Toi qui, de-venu Hcho, p«> vivre indépendant! Jenen»ni!< h ton l»onlieur, notre , va! jo nai pas eu lintluenc* que tume reproches !.. i;.T. Oli ! .Te vais dire un gros mot,si ça continue !... RASTi!. — Vous la voyex. tous la voye»,ne^t-i-mêine. \>K. - Il tient h ce titre!... RvvTï. — Parfaitement. Tu viena de teplaindre que je ne te traite pas en m^niiiH».Tu na» jamais été lassotMétv II eat teni[« 66 LEnfant de lAmour que je me retrouve, je fonds, je fonds litté-:., je fonds!... Il montre désespérément le parquet. MYRTILLE, cherchant avec Lorédan et leprince à entraîner Bantz. — Rantz!... fai-tes la paix! LiANB. — Moi qui aa été ta compagne dé-vouée, moi qui tai entouré de tous messoins ! RANTZ. — Oui, oui, je le sais; tu las as-sez crié par-dessus les toits ! Ah ! comme ditlautre : a Qxie ne te récom


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