. Les Français peints par eux-mêmes . fatigues, de tant de dégoûts; pour le récompen-ser de sa probité à toute épreuve?—un avancement qui,après vingt-cinq années de service, élèvera son traite-ment à douze cents francs, un médecin et des droguesgratis en cas de maladie ; une pension de six cents francsquand il ne pourra plus marcher ; puis, sil est bien pro-tégé, lespoir dêtre sur ses vieux jours attaché au servicedun ministère, ou nommé facteur de la cour, ce qui luidonnera le droit de porter tricorne et habit galonné, etlexposera, grâce à son portefeuille, à recevoir les hom-mages militaires


. Les Français peints par eux-mêmes . fatigues, de tant de dégoûts; pour le récompen-ser de sa probité à toute épreuve?—un avancement qui,après vingt-cinq années de service, élèvera son traite-ment à douze cents francs, un médecin et des droguesgratis en cas de maladie ; une pension de six cents francsquand il ne pourra plus marcher ; puis, sil est bien pro-tégé, lespoir dêtre sur ses vieux jours attaché au servicedun ministère, ou nommé facteur de la cour, ce qui luidonnera le droit de porter tricorne et habit galonné, etlexposera, grâce à son portefeuille, à recevoir les hom-mages militaires du conscrit en faction. « — Mais les étrennes ! » Elles varient de quatre cents à raille francs par quar-tier , cest pour chaque facteur un supplément de revenude deux à cinq cents francs, sur lequel il paye au surnu-méraire trois francs par jour pendant tout le temps de sarecolle. Dites, à présent, si vous regrettez encore les modes-tes étrennes cpie vous donnez chaque année à votre fac-i leur!. yoti.


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