. Le Monde moderne. L. -««^. Le ciel (lu soir est mer chante doucement : Hélas! Quimporte?La cloche au timbre argentinPleure dans le clair lointain : Son âme est moite. — Mon fils, mon fils, ne meurs veux te prendre en mes bras, Et de ma lèvreCalmer, comme aux anciens jours,Ton bout sous te3 cheveux lourds, Tes yeux de fièvre. — Ma mère, je vais baiser ne peut guérir Ma peine amé incurable langueurA rongé mon pauvre cœur. Helas! ma mère! Dans la brume, vers le sow,Je nai pu lapercevoir Que sous son , à lombre des murs vieux,Jai deviné ses grands ye


. Le Monde moderne. L. -««^. Le ciel (lu soir est mer chante doucement : Hélas! Quimporte?La cloche au timbre argentinPleure dans le clair lointain : Son âme est moite. — Mon fils, mon fils, ne meurs veux te prendre en mes bras, Et de ma lèvreCalmer, comme aux anciens jours,Ton bout sous te3 cheveux lourds, Tes yeux de fièvre. — Ma mère, je vais baiser ne peut guérir Ma peine amé incurable langueurA rongé mon pauvre cœur. Helas! ma mère! Dans la brume, vers le sow,Je nai pu lapercevoir Que sous son , à lombre des murs vieux,Jai deviné ses grands yeux Couleur détoile. Jamais elle na parlé.Son seul silence a troublé Mon cœur qui brû je suis sur que sa voixEst plus douce quun hautbois Au crépuscule. » Du pied des grands escaliersPartirent des cavaliers, Cherchant la vierge,Près du fleuve aux larges eauxDont les fleurs et les oiseaux Charment la berge. — « Mère, ils sen vont pour printemps et mes amours Ne sont quun


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