Nouvelle géographie universelle : la terre et les hommes . , du moins sur le versant septentrional de la montagne, età la chaleur des étés caucasiens4. La partie constamment neigeuse de la 1 E. Favre, Glaciers de la chaîne du Caucase, Bibl. universelle, 15 janv. G. Radde, Reisen im Mingrelischen Hochgebirge. 3 Stebnitzkiy, Isv esliya Kavkaz. Otd. Roussk. Geogr. Obchtcheslva, tome V, 1X77-187X. 4 Khodzko, hvestiya Roussk. Geogr. Obchtcheslva, 1S77. n° b. -2 NOUVELLE GÉOGRAPHIE UNIVERSELLE, chaîne commence à lOchtek ou Ochlen, dans le Caucase occidental, etse prolonge jusquau Kazbek : au
Nouvelle géographie universelle : la terre et les hommes . , du moins sur le versant septentrional de la montagne, età la chaleur des étés caucasiens4. La partie constamment neigeuse de la 1 E. Favre, Glaciers de la chaîne du Caucase, Bibl. universelle, 15 janv. G. Radde, Reisen im Mingrelischen Hochgebirge. 3 Stebnitzkiy, Isv esliya Kavkaz. Otd. Roussk. Geogr. Obchtcheslva, tome V, 1X77-187X. 4 Khodzko, hvestiya Roussk. Geogr. Obchtcheslva, 1S77. n° b. -2 NOUVELLE GÉOGRAPHIE UNIVERSELLE, chaîne commence à lOchtek ou Ochlen, dans le Caucase occidental, etse prolonge jusquau Kazbek : au delà, les cimes isolées1 sont les seulesqui gardent leur blancheur pendant toute lannée. Daprès Moritz Wagner,la rougeur crépusculaire des montagnes brillerait avec beaucoup moinsdéclat sur le Caucase que sur les Alpes, à cause de la moindre proportiondes neiges2. Les stations météorologiques établies sur divers points du Caucase ontpermis de mesurer approximativement la diminution dhumidité qui force K° 17. — PLUIES DE LA Moins de Oœ,SS. De 0»,îoà 0»,50. De 0m,60 à 1 mè : 10 500 000 De 1 à 2 mètres. C Pe: De 2 mètres et au delà 400 Icil. la limite des neiges h se relever graduellement de louest à lest de lachaîne, à mesure que les vents pluvieux séloignent de la mer Noire et serapprochent du Caucase oriental, où dominent les vents continentaux. Dansle Caucase tourné vers le Pont-Euxin, il tombe, sous forme de pluie et deneige, une quantité deau près de trois fois plus considérable que dans lapartie centrale de la contrée5, et six, huit, même dix fois supérieure à celleque lon observe dans le bassin de la Koura et dans la péninsule dApché- 1 Slebmlzhy, Mittlieilungen von Petermann, 1875. 2 Der• Kaukasus. 5 Stebnilzkiy, hvestuja Roussk. Geogr. Obchtchestva, IX, n» 5; — Slatkovskiy, Problèmes de la?limatologie du Caucase. NEIGES ET PLUIES DU CAUCASE. 75 ron ; parfois six mois sécoulent sans quil tombe une seu
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