. Le Monde moderne. t gaie, elle était aimait lespiègle enfant,Avec son œillet au corsageEt son petit air triomphant. Lorsquelle allait, vii/e et légè les sentiers fleuris de à neine si la fougèreSe courbait sous son pied mutin. Sa lèvre était une ceriseDéjà mure pour le pinson ;Sur ses cheveux jouait la quand lécho, dans le buisson, Leui appoitait sa chansonnette,Si glande en était la douceuiQue fauvette et heigei on netteLa saluaient comme une ses ii lablicr ROSE A quinze ans, foin du noir morose !Sa mère, un beau jour de fit don dun tabl
. Le Monde moderne. t gaie, elle était aimait lespiègle enfant,Avec son œillet au corsageEt son petit air triomphant. Lorsquelle allait, vii/e et légè les sentiers fleuris de à neine si la fougèreSe courbait sous son pied mutin. Sa lèvre était une ceriseDéjà mure pour le pinson ;Sur ses cheveux jouait la quand lécho, dans le buisson, Leui appoitait sa chansonnette,Si glande en était la douceuiQue fauvette et heigei on netteLa saluaient comme une ses ii lablicr ROSE A quinze ans, foin du noir morose !Sa mère, un beau jour de fit don dun tablier rose :Elle en rêvait depuis longtemps. Une merveille, Dieu me damne !Que cette soie au tissu fin ;Telle la robe de Peau-dAne,Ou lécharpe du séraphin. Ah! quil seyait à la pauvrette,Le tablier couleur de se gonflaient sous sa bavetteDeux fruits convoités par lAmour: Quand dans les poches festonnéesL enfant plongeait, en souriant,Ses petites mains étonnées) D refléter tant dorient.
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