Boletim da Sociedade Portuguesa de Ciias Naturais . ´tés et unies aux lobes qui re-présentent les mâchoires et les mandibules. Corne frontaleproéminente, recourbée, épaisse, se terminant en pointe émous-sée avec une légère dépression supérieure. Prothorax large,sinueux en avant, ayant la protubérance supérieure déjà di-visée en deux lobes symétriques. Elytres rudimentaires re-courbés sur le sternum, passant entre la seconde et la 164 Société Portugaise de Sciences Naturelles troisième paire de pattes et cachant les ailes membraneusesqui les dépassent. Jambes très épaiss


Boletim da Sociedade Portuguesa de Ciias Naturais . ´tés et unies aux lobes qui re-présentent les mâchoires et les mandibules. Corne frontaleproéminente, recourbée, épaisse, se terminant en pointe émous-sée avec une légère dépression supérieure. Prothorax large,sinueux en avant, ayant la protubérance supérieure déjà di-visée en deux lobes symétriques. Elytres rudimentaires re-courbés sur le sternum, passant entre la seconde et la 164 Société Portugaise de Sciences Naturelles troisième paire de pattes et cachant les ailes membraneusesqui les dépassent. Jambes très épaisses. Les tibias antérieursavec trois petites pointes sur la face extérieure et près delextrémité; les tibias des jambes intermédiaires et postérieu-res, épais et sinueux. Tarses épais, ayant les articles mar-qués de sillons assez profonds. Sternum divisé en avantet en arrière par des sillons médians profonds. Scutélumtrès large, pentagonal; les segments abdominaux très pro-fondément sillonnés avec les ouvertures stigmatiques bien. nettes. Pygidium protégé par deux pièces latérales distinctes. à (fig. 2) Dimensions : De lextrémité de labdomen au boutdu tubercule frontal, 42 mill; largeur maxima du prothorax,15 mill.; aux élytres, 19 mill.; à labdomen, 18 mill. Con-figuration des pièces buccales, des ailes et des pattes parfai-tement semblable à celles du mâle. Prothorax moins sinueux,bombé. Corne frontale réduite à un petit tubercule émoussé. Pygidium plus pointu. Couleur générale beaucoup plusfoncée que celle du mâle. Une Hémogrégarine de lAnguille parG. França Les Hémogrégaiines existent chez quelques Poissons ma-rins, ainsi que Laveran & Mesnil (*) ont été les premiers à démontrer; mais chez les Poissons deau douce on ne con-naissait, jusquen 1906, aucun parasite de ce genre. Laveran f) dans une


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