Oeuvres, dédiées à duc d'Orléans . flots égaux» E iiij 104 L H O M M E. Tel efl en cherchant ce quil aime,Le CÅur des Mortels impuiflansjSupplice aflidu de lui-même,Par fes vÅux toujours CÅur quun vain efpoir captive?Pourfuit une paix fugitive ,Dont jamais nous ne joiiiflbnsjEt de nouveaux plaifîrs avide >A chaque moment il {e vuideDe ceux dont nous le remplifTons. 7oi que à e la mîfére humaîneTes vertus doivent excepter ;F I E U B E T , fUtns Vef^érance vaineDont favois afe me jlater,Mori zélé me faîfoit attendrgUn plaijir Jolide a te rendreCet hommag
Oeuvres, dédiées à duc d'Orléans . flots égaux» E iiij 104 L H O M M E. Tel efl en cherchant ce quil aime,Le CÅur des Mortels impuiflansjSupplice aflidu de lui-même,Par fes vÅux toujours CÅur quun vain efpoir captive?Pourfuit une paix fugitive ,Dont jamais nous ne joiiiflbnsjEt de nouveaux plaifîrs avide >A chaque moment il {e vuideDe ceux dont nous le remplifTons. 7oi que à e la mîfére humaîneTes vertus doivent excepter ;F I E U B E T , fUtns Vef^érance vaineDont favois afe me jlater,Mori zélé me faîfoit attendrgUn plaijir Jolide a te rendreCet hommage que je te dois ;Mais je nai , malgré mon attenteQ^une crainte rcconnol^anteQ^il ne foit indigne de toi. L H O M M E^ AujÃtftiife c^u^équitable ,îr« veux unfens dans nos écrits ,£lezé, nouveau , V en table ,Dont le tour augmente le dobtenir ton fujfrage ,Y ai taché d^ orner cet owirageDe traits dignes de te toucher /Mais je crains quen mes hardiejfes yTu ne découvres les foiblejfes,ue mon orgueilff^it my cacher. îos. E V io rimes cadencées-AfTervir mes nouveaux tranipoits,. é NeTouÃie point de. vers qi,ie puiîTe un jour dltrairB:=L-Gubli> linjurieux mépris 5 Quils ibient tels quà jamais on semprefie à sin^ftruire Du langage ou je les écris*. â ©ES lojr Aiiifi, Grecs Se Romains, à votre décadence Votre langage a furvécu :le tems a fans effort détruit votre puifliince ; Mais vos ouvrages lont vaincu. Ces images enfemble obfcures & brillantes >Où Pindare aime à s^égarer, Sont encor aujourdhui des énigmes charmants*Quon sintéreiïe à péné De la vive Sapho, de-lintrépide Alcée, ( a ) Du Pcëte aux graves accens ; £t des chants douloureux du citoyen de C ée ( û^ )Les feula refces ont notre encens. Semblables à ces Dieux que la fuite des âges-A mutilés f
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