Le compere Mathieu, ou Les bigarrures de l'esprit humain . es prifonniersqui avoient été à portée de paiTer parl trou que mon Oncle avoit fait, sé-toient échappés ? Jl y a fans doute ( a ) Quelque Ledeur un peu difficile med. mandera avec quel inflrument Père ]ean a pijfaiie ce trou, 6cc. Je répondrai que je \\ft\\ faisrien \ & que ce Lecteur difficile devroit fe con-tenter de lavoir que ?iiYi Jean sévada > & riende plus. Un Auteur nauroit jamais fini^ sji^ouiou concenter tgiu is inonde. MATTHIEU. 22t quelques AflafTins parmi ces derniers,qui éviteront la peine due à leurs for-faits, à qui
Le compere Mathieu, ou Les bigarrures de l'esprit humain . es prifonniersqui avoient été à portée de paiTer parl trou que mon Oncle avoit fait, sé-toient échappés ? Jl y a fans doute ( a ) Quelque Ledeur un peu difficile med. mandera avec quel inflrument Père ]ean a pijfaiie ce trou, 6cc. Je répondrai que je \\ft\\ faisrien \ & que ce Lecteur difficile devroit fe con-tenter de lavoir que ?iiYi Jean sévada > & riende plus. Un Auteur nauroit jamais fini^ sji^ouiou concenter tgiu is inonde. MATTHIEU. 22t quelques AflafTins parmi ces derniers,qui éviteront la peine due à leurs for-faits, à qui recommenceront leur ai-cien train de vie fur de nouveauxfr^ix. — Avouez du moins , repliquai-je , que sil y a du A/ai dans le mon-de, il y a auîïi quelque Bien : car (îcette aventure va mettre le crime àlabri de fa punition , Tinnocence vafe trouver à celui de Tinjuitice. — LeCompère ne me répondit rien : il metourna le dos pour écouter Diego , quiprèchoit fur la confiance que Ton doinavoir en Dieu dans les CHA- 222 LE COMPERE D^ ^0^ -^^ CHAPITRE XXIII. Changonent de Matières» ENVIRON fix jours après nousreqdines une Lettre , par laquellenous a})prinies que 1ère ean étoitarrivé faiii k iauf à iaais. Cette nou-velle nous ^i une joie extrê plià. bagnge àès Tiiiftant mè*nie, oc nous nous nrinies en route-pour laris. Lattachement que javoispour mes Amis, le dclir que javoisde rejoindre le iv^c;?}^;/./, remportèrentfur Taveriion que javois coiicue con-tre res Pays ou règne le i ntMicijine îpeut-être que ce que je vcnois de voiedans les Pays où règne le VrotefuDitif-me y contribua un peu auill. Lorfque nous fûmes arrivés à Varis ^nous trouvâmes effectivemcnt le Révé^rend là où il nous a voit dit. Et no-tre joie, en le revoyant, ne fut pasmoindre que celle de notre réunion àLondres. Notre premier foin après cela fut dechercher un lo<^emcnt : nous en trou- MATTHIEU. 223 \âmes un d.«iu la Vieille
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