. Archives néerlandaises des sciences exactes et naturelles . sfait au numéro 48 (voir figs. 3 et 4). Nous supposons ensuite symétrieparfaite du miroir par rapport au plan qui^ en passant par laxe des j/,est perpendiculaire au -plsm du miroir. Nous laissons pénétrer^ enun 23oint / de la limite de Tespace considéré^ un rayon lumineux quirencontre le miroir en 0 et quitte Tespace au point // (mouvementlumineux A (voir le commencement de 86.)); nous considérons égale-ment un mouvement lumineux se propageant en sens inverse (mouvementlumineux 7^). Nous ne nous écartons pas des figures 3 et 4 et de
. Archives néerlandaises des sciences exactes et naturelles . sfait au numéro 48 (voir figs. 3 et 4). Nous supposons ensuite symétrieparfaite du miroir par rapport au plan qui^ en passant par laxe des j/,est perpendiculaire au -plsm du miroir. Nous laissons pénétrer^ enun 23oint / de la limite de Tespace considéré^ un rayon lumineux quirencontre le miroir en 0 et quitte Tespace au point // (mouvementlumineux A (voir le commencement de 86.)); nous considérons égale-ment un mouvement lumineux se propageant en sens inverse (mouvementlumineux 7^). Nous ne nous écartons pas des figures 3 et 4 et des nota-tions adoptées en 45.^ si nous considérons — pour les points / et // —comme directions étalons ) dans la lumière incidente (/) et dans lalumière réfléchie {T) les directions rejuésentées j^ar I^, I.^, R^, (pourle mouvement lumineux A) ou par /.,, I^, R\, (pour le mouvementlumiiieux B), dans la fig. 7 pour la réflexion polaire dans la fig. 8 pour Fig. 7. {Polaire) éfl. Ziciïriù / 1 /• 0 r\iL ] Fig. 8. {E(ptatoriale) Y. ■) On se rappelle que nous avons iii)])elé directions étalons les positions yym^ doitoccuper le vecteur (2, ayant atteint une (lèses valeurs extronies, pour (j ne nousayons à attribuer la valeur ^ tt à la phase du mouvement lumineux, jjrenant positi-vement lamplitude de celui-ci. 198 C. H. WIND. la réflexion éqaatoriale. Toutefois le principe de la réciprocité^ dans lafomie sons laciuelle il est énoncé au n° 83^ suppose qu^ou prenne commedirections étalons en les endroits / et II, dans le cas du mouvementlumineux B, absolument les mêmes directions que dans le cas du mou-vement A. Si donc pour le mouvement A nous choisissons comme direc-tions étalons^ dans rapplication de ce principeI^, I.^, et B^^ res-pectivement^ il nous faut prendre pour directions étalons, pour lemouvement lumineux B, — // (= ^3), L^ [= R^), — B^ {=et Ri^ (= X>) (voir les figures). amplitude est toujours prise positivement, et n
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