Le Monde moderne . nt reparties charjfccs dediverses marchandises, notamment de 31 000 kilosde sucre. Et M. Krantz a inauffuré enfin, à Tunis, la statue<le .Iules lerry. .luKs lerry a donné la Tunisie à la France. Elail-il juste de len remercier, et son cadeaua\ail-il quelque valeur? Lélude sonmiaire. que jarrête ici. est la réponseii Cille ([uestion. Oui. la Tunisie, qui valait bienquelque chose en vaut aujourdhui beauc<iup. çiquc et dans tout le monde civilise une grandeémotion. Cest quils annonçaient le retour, aprèsplus dune année de silence, de lexpédition con-duit


Le Monde moderne . nt reparties charjfccs dediverses marchandises, notamment de 31 000 kilosde sucre. Et M. Krantz a inauffuré enfin, à Tunis, la statue<le .Iules lerry. .luKs lerry a donné la Tunisie à la France. Elail-il juste de len remercier, et son cadeaua\ail-il quelque valeur? Lélude sonmiaire. que jarrête ici. est la réponseii Cille ([uestion. Oui. la Tunisie, qui valait bienquelque chose en vaut aujourdhui beauc<iup. çiquc et dans tout le monde civilise une grandeémotion. Cest quils annonçaient le retour, aprèsplus dune année de silence, de lexpédition con-duite par M. A. de Gerlache, â bord de la Belgica,vers le pôle Sud. Des télégrammes plus explicitesarrivaient quelques jours après, qui permettentdès aujourdhui de reconnaître limportance de lanouvelle oeuvre acconqilie. Hélas! nous ne pouvons nous tenir, en appre-nant cette bonne nouvelle, de penser à ceux quisont partis aussi, confiants et joyeux, vers le pôle,et qui ne sont pas revenus. Andrée, lui. est. TlXISIE â rXK TEXTE A K .1B E tCoIlectil En 1897. année de dure épreuve, année où le doublefléau, la sécheresse, les sauterelles, sest abattu surle pays, lexercice financier sest liquidé par unexcédent de recettes de 880 000 francs. Dotée dunbon budjrct. munie dun réseau lerré que complé-teront les lijrncs de Sousse-Sfax. ébessa. Tunis-le-Kef. munie de quatrebons ports, conimerfante déjà , en rapports com-merciaux réguliers avec la France, dune part, avecle sud de lautre, défendue par le port militairede Bizerte. la Tunisie na besoin, pour être assuréedun avenir prospère, que de nombreux colonsagricoles français. Ce sont eux qui. le jour dudanger, la défendront, la maintiendront française ;ce sont eux qui. augmentant son commerce, rem-plissant ses ports, usant ses rails, remuant son solfécond, lenrichiront et lui feront peut-êtr


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