Oeuvres . droits,Ait voulu tromper ta prudenceQuelle féconda tant de à nos armé cent triomphes animées,Affurer des honneurs nouveaux :Prodige ! fatale méprifè !Je vois la Victoire furpriftSégarer (a) fous dautres drapeaux. >ê Drapeaux trop étrangers pour elle !Déjà fa faveur fe dément iLOUIS, ta vertu la rappelleDe ce honteux é Cohortes HefperiennesQuenflammoit lexemple des vue expier fon erreur ; (6)A tes loix déformais rendue,Dans le parti qui la perdueElle a renvoyé la terreur, (a) Hoogaet, Ramillie , Tu- j (;) A la bataille dAl- >Wj


Oeuvres . droits,Ait voulu tromper ta prudenceQuelle féconda tant de à nos armé cent triomphes animées,Affurer des honneurs nouveaux :Prodige ! fatale méprifè !Je vois la Victoire furpriftSégarer (a) fous dautres drapeaux. >ê Drapeaux trop étrangers pour elle !Déjà fa faveur fe dément iLOUIS, ta vertu la rappelleDe ce honteux é Cohortes HefperiennesQuenflammoit lexemple des vue expier fon erreur ; (6)A tes loix déformais rendue,Dans le parti qui la perdueElle a renvoyé la terreur, (a) Hoogaet, Ramillie , Tu- j (;) A la bataille dAl- >Wj Tome I, ri i4!î La Sagesse do Rofi Toi, qui des vertus immortellesFais voir en L o u i S tous les traits ;Graî^d Dieu, que tes faveurs nouvelle*Couronnent tes propres toi, fon cœur inébranlableDu fort contraire ou favorableSçut éviter le double écueii;Soutiens toujours cette C:Age{reQui voit les revers fans foiblelTe jEt la fans orgueil. ^>^.^-. -Ê^^;^:?^^. 147 T* REMERCIMENJ A LACADÉMIE FRANÇOISE. QBE. DU prix des dodes chants leuîs arbitresfuprêmes,Qui de lart hâtez le progrès,En daignant couronner de vos élevés mêmesCeux qui vous fuivent de plus près. Vos fouffrages unis ont redoublé mon zèle ; Sans refpoir dun prix fuperfiu ,Je tire pour vous plaire une force nouvelle Du bonheur de vous avoir plu. G n 1 4 ? R E M E Pv C r -Nî F N T. Chargés du nom fameux du plus grand des Mo-narques , Seuls dignes ce le publier,Au foin delafFranchir de lEmpire des Parques, Vous daignez, nous aflbcier. >ê Tel un fleuve quon voit dune rapide courfeA rOcéan porter Tes eaux,Mêle encor au tribut que lui fournit fa fource|L,e tribut de mille ruiffeaux. Ah! que nai-]e plutôt fîgnalé mon audaceAu noble emploi quon nous commet;Par ce fecours ,GramdRoi, mélevant auParnaiïe,jen aurois atteint le fbmmet. # Peut-être mon génie, à ta gloire fîût vaincu mes plus fiers rivaux ;Apollon meût didé de fa bouche immortelleD


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