. De l'électrisation localisée et de son application a la pathologie et a la thérapeutique. FiG. 171. FiG. 172. ronier latéral ; 2° la griffe pied creux par excès daction des exten-seurs des premières phalanges, consécutivement à la paralysie desmuscles interosseux, fléchisseur etadducteur du gros orteil (voy. lafig. 171) ou à la contracture dutriceps sural (dans léquin) (voy. lafig. 172) ; 3° le pied creux talus parinflexion de lavant-pied sur lar-rière-pied, consécutivement à laparalysie ou à latrophie du tricepssural (voy. la fig. 173). Tous cespieds creux ont entre eux quelque |ressemblanc


. De l'électrisation localisée et de son application a la pathologie et a la thérapeutique. FiG. 171. FiG. 172. ronier latéral ; 2° la griffe pied creux par excès daction des exten-seurs des premières phalanges, consécutivement à la paralysie desmuscles interosseux, fléchisseur etadducteur du gros orteil (voy. lafig. 171) ou à la contracture dutriceps sural (dans léquin) (voy. lafig. 172) ; 3° le pied creux talus parinflexion de lavant-pied sur lar-rière-pied, consécutivement à laparalysie ou à latrophie du tricepssural (voy. la fig. 173). Tous cespieds creux ont entre eux quelque |ressemblance, et quoique leur ge-nèse soit essentiellement différente,on pourrait, au premier abord, attri-buer la voûte plantaire à lexcès daction du long péronier laté est donc nécessaire de faire ressortir ici les signes qui distin-. FiG. 17 3. 902 SPASMES. guent le pied creux par contracture de ce dernier muscle, desautres espèces de pied creux. Dans la griffe pied creux consécutive à la paralysie des musclesinterosseux (tig. 171), adducteur et court fléchisseur du gros orteil,dont le mécanisme a été expliqué ailleurs, la courbe de la voûte plan-taire ressemble à celle qui est produite par la contracture du long pé-ronier latéral (voy. lafig. 164). On comprend quil en doit être ainsi,car lexagération de cette voûte résulte ici de labaissement de latête du premier métatarsien ; seulement les deux voûtes diffèrententre elles par la manière dont elles sont produites. Dans lune(fig. 171), la tête du premier métatarsien aété refoulée de haut en baspar la première phalange du gros orteil, subluxée en haut sur le pre-mier métatarsien, tandis que dans lautre (fig. IGU), cest le premiermétatarsien qui est mis en mouvement de haut en bas dans son ar-ticulation avec le premier cunéiforme. Mais


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