. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. (384 SOCIETE DE BIOLOGIE J'ajouterai qu'en mai IU14, MM. Buys et ifenneberl, de Bruxelles, ont proposé des épreuves assez analogues pour Fexamen galvanique du labyrinthe vestibulaire. Ces expériences qui n'ont été publiées en France que récemment, trouvent leur pleine confirmation dans celles qu-ej"aipu pratiquer sur une vaste échelle pendant la guerre. IV. Ãpreuve giratoire. âJe rapporterai seulement ici à propos de cette épreuve le procédé de contrôle que j'ai décrit en 1917 et dénommé


. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. (384 SOCIETE DE BIOLOGIE J'ajouterai qu'en mai IU14, MM. Buys et ifenneberl, de Bruxelles, ont proposé des épreuves assez analogues pour Fexamen galvanique du labyrinthe vestibulaire. Ces expériences qui n'ont été publiées en France que récemment, trouvent leur pleine confirmation dans celles qu-ej"aipu pratiquer sur une vaste échelle pendant la guerre. IV. Ãpreuve giratoire. âJe rapporterai seulement ici à propos de cette épreuve le procédé de contrôle que j'ai décrit en 1917 et dénommé Contrôle visio-dactyle du nystagmus ». Le malade ayant les yeux fermés, l'observateur, posant légèrement la face palmaire de son pouce et de son inde^ sur les globes oculaires à travers les paupières, contrô- lera facilement le phénomène nystagmique; non seulement il verra, mais il sentira les oscillations, en appréciera l'amplitude, la fréquence ; les pulsations nystagmiques sont d'environ 90 à la minute. J'ai plusieurs FiG. 2. â Pistolet à air coniiirimé fois constalé par ce procédé un nys- tagmus normal, alors que par les épreuves. classiques (regard en position latérale regard en position directe derrière des lunettes dépolies on n'obtenait aucune réaction post-giratoire. V. Epreuve thermique. [Air frûid.) â L'étude du nystaginus thermique se fait classiquement sui- vant la méthode de Baraoy, perfectionnée par Brunnings, à l'eau chaude ou à l'eau froide. Mais l'épreuve à l'eau chaude, peu sensible, exige de multiples préparatifs. L'épreuve à l'eau froide, contre-indiquée en cas de perforation ou de suppuration, est toujours très pénible jDOur le malade. J'ai depuis longtemps substitué à l'eau froide l'air froid : épreuve rapide, propre, très bien supportée par le malade, précise et applicable dans tous les cas. Dundas-Gran


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