Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . sectesingon. Il mourut en 835 et reçut le nom honoriJlque pos-thiiine de Kôàô Daï-shi. On lui attribue linvention de lécri-ture cursive et élégante appellée hirakana. KOBOLD (peut-être du gr. kôbalos, malicieux, imposteur)n. m. Nom quont reçu, dans les temps anciens, en Alle-magne, de soi-disant esprits familiers, des lutins, qui étaientcen^sés jouer de mauvais tours aux hommes. (Ce sont,peut-être, les âmes mécontentes des ancêtres. Us ré-pondent aux gobelins français et anglais. Plus tard, lasuperstition les attacba, comme ga
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . sectesingon. Il mourut en 835 et reçut le nom honoriJlque pos-thiiine de Kôàô Daï-shi. On lui attribue linvention de lécri-ture cursive et élégante appellée hirakana. KOBOLD (peut-être du gr. kôbalos, malicieux, imposteur)n. m. Nom quont reçu, dans les temps anciens, en Alle-magne, de soi-disant esprits familiers, des lutins, qui étaientcen^sés jouer de mauvais tours aux hommes. (Ce sont,peut-être, les âmes mécontentes des ancêtres. Us ré-pondent aux gobelins français et anglais. Plus tard, lasuperstition les attacba, comme gardiens des métaux ettrésors, aux mines et aux cavernes.)KoBURG. V. Géogr. Cobourg. KoBRYN ou KOBRJN, ville de la Russie occidentale,ch-1. de district du gouvernement de Grodno, au confluentde la Kobn/nka et de la Moukovtza, sous-affluent droitde la Vistulo par le Boug; hab. — Le district kilom. carr. et hab. KoBYLDJ, ville dAllemagne (roy. de Prusse [présid. deP.^11 . près de lOrla; hab. Commerce de du KoçALA, royaume de lInde ancienne, limitropliMatradiia, dont il est souvent (|ueslion dans les Ecrituresliouddhiques. Sa capitale était Cràvasti. Du vivant deCàkya-mouni, le Koçala était gouverné par le roi Pra-sénadjit, qui se convertit au bouddhisme et fut un despremiers protecteurs do cette religion. KocH (Christophe-Guillaume de), publiciste et histo-rien, né à Bouxwiller (Alsace) en 1737, mort à Stras-bourg en 1813. Il succéda à Schœpflin dans la chaire dedroit de Strasbourg, fut nommé à lAssemblée législativepar le département du Bas-Rliin (1791), se prononça con-tre la journée du 10 août 1792, et fut arrêté pendant laTerreur. Membre du Tribunal en 1802, fondateur du sémi-naire protestant de Strasbourg, il était lhomme de sontemps le plus versé dans les questions de droit citerons : Tableau des révolutions de lEurope (1782),et Abrégé de lhistoire des traités de pai
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