. Gazette des beaux-arts . nu par un longruban*. Le dessin de lAlbertine nous semble être un double projet pour ce 1. Vol. xvMi, 46, 5, 9, U3. 2. Ce dessin a été photographié par Braun (n° 287). — Des figures et des costumesanalogues so retrouvent dans une gravure vénitienne de la seconde moitié du w siècle,Deux jeunes cavaliers sur les bords de la mer (Passavant, Peintre-graveur, t. V,p. 489, n° 102). Lauleur de cette gravure semble avoir subi rinflnenro du Pisan. 3. Gravée sous ce litre : Jeinie fillr noble, dans les Arts somptuaires. NousdevcdS ce renseignement ii lobligeance de M. Ary Rena
. Gazette des beaux-arts . nu par un longruban*. Le dessin de lAlbertine nous semble être un double projet pour ce 1. Vol. xvMi, 46, 5, 9, U3. 2. Ce dessin a été photographié par Braun (n° 287). — Des figures et des costumesanalogues so retrouvent dans une gravure vénitienne de la seconde moitié du w siècle,Deux jeunes cavaliers sur les bords de la mer (Passavant, Peintre-graveur, t. V,p. 489, n° 102). Lauleur de cette gravure semble avoir subi rinflnenro du Pisan. 3. Gravée sous ce litre : Jeinie fillr noble, dans les Arts somptuaires. NousdevcdS ce renseignement ii lobligeance de M. Ary Renan. 4. Dans le recueil de Vallardi, deux dessins de faucons : lun à la plume sur pai*-cliemin, lautre à laquarelle sur dessous de plume; colui-ci portant un chaperon bleuest posé sur un gantelet et attaché ii un ruban (folio 208, nos i462 et 245J). VITTORE PISANO. 173 débris dune miniature dun style primitif, aux formes sveltes et un peugrêles, empreintes dun charme naïvement poétique et que nous croyons. PORTRAIT DE PHILIPTE-M ARIE VISCONTI, PAR V. PISANO. (Dessin à la plume du Recueil Vallardi, au Louvre ) devoir attribuer aux premiers temps de Pisano. M. Crowe et Cavalcasellene sétaient donc pas trop aventurés en supposant que Pisano devait sortir llh GAZETTE DES BEAUX-ARTS. de quelque école de miniaturiste. Quoique M. Morellii attaque vivementcette hypothèse, elle semble confirmée par la précieuse miniature duLouvre. Malgré son renom de peintre, attesté par les contemporains les plusautorisés, Pisano, aujourdhui du moins, doit le meilleur de sa gloire àun art quil naborda que dans la dernière partie de sa vie, à lart du mé-dailleur, protégé contre les injures du temps par la longévité naturelle dumétal. Cest seulement à lâge de cinquante-neuf ou soixante ans quePisano se serait essayé dans un art perdu depuis les anciens. Sa premièremédaille, celle de Jean VII Paléologue, ne peut remonter au delà de 1438ou 1439, époque à laquel
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