. Annales de la Société entomologique de France. Insects; Entomology. 166 C. IfOCARD. Stefani décrivit autrefois eu Sicile (cf. Houard, 1!)0!), t. 2, p. 89o. n" Mri'), mais d^une faeon si brève que toute identification est impos- sible. Algérie, près d'Aïn-Sefra, à m. d'altitude : Hochreutiner, in Corti, 11)04, p. 2o2-2o3 ; Houard, 1009, p. 89o, n'^ olo7. 293. [Eriopkijide]. — Fleurs supérieures de l'épi, plus rarement celles de la base, gonllées et transformées en masses globuleuses, de Ml Plantago albicans. Ji7iophyide (n" 293). Fig. o38 (a). — Épi avec fleurs parasitées (d'a


. Annales de la Société entomologique de France. Insects; Entomology. 166 C. IfOCARD. Stefani décrivit autrefois eu Sicile (cf. Houard, 1!)0!), t. 2, p. 89o. n" Mri'), mais d^une faeon si brève que toute identification est impos- sible. Algérie, près d'Aïn-Sefra, à m. d'altitude : Hochreutiner, in Corti, 11)04, p. 2o2-2o3 ; Houard, 1009, p. 89o, n'^ olo7. 293. [Eriopkijide]. — Fleurs supérieures de l'épi, plus rarement celles de la base, gonllées et transformées en masses globuleuses, de Ml Plantago albicans. Ji7iophyide (n" 293). Fig. o38 (a). — Épi avec fleurs parasitées (d'ap. nat. ; gr. 0,8). Fig. 339 {b). — Fleur gonlléejace inférieure (d'ap. nat.; gr. 0,8). Fig. 340 {(?). — Fleur liypertrophiée enlr'ouverte (d'ap. nat. ; t^r. 0,8). Fig. 341. 342 ((/, e). — Calice normal et sépale isolé (d'ap. nat. ; gr. 0,8).. 4 à 6 mill. de diamètre. Ces masses globuleuses se distinguent à pre- mière vue des fleurs restées intactes dont les pétales sont étalés, mem- braneux et colorés en marron clair (lig. 338). La partie basilaire de chaque tleur anormale globuleuse est convexe [lig. 339). Elle se montre enserrée par cinq écailles élargies, à bords membraneux, d'une teinte marron plus ou moins foncée, parfois vertes suivant leur nervure médiane : ces écailles correspondent à la bractée llorale et aux quatre sépales de la fleur. Quant à la région su- périeure de la fleur parasitée, elle se termine par deux lames verdà- tres, à bords enroulés, semblables à des becs d'oiseau, couvertes de poils blancs comme le reste de la galle. Ces deux becs verdàtres, longs de 10 mill. environ, durs et rigides, correspondent à deux pétales hypertrophiés. Ils enferment, en les cachant presque complètement, deux autres pétales plus courts, verdàtres, allongés et également en forme de becs (fig. 340). Au centre même de toutes ces pièces, qui re- présentent la corolle de la fleur, existent d'autres pièces semblab


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