. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . mmeil courait chercher son auteur. « Je vous crois sur parole. LaHeur est exactement représentée; mais je puis mêtre trompépour la classification. » Cet arbre, dont bien des Européennes seraient heureuses 1. Nayaut aucun titre pour intervenir dans cette grave discussion, nous nousbornerons à rappeler que, botanistes et gens du monde, on nomme acacia deuxgenres très différents de la famille des légumineuses ; et, de plus, que notrefaux acacia des jardins, ou robinier, appartient à la
. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . mmeil courait chercher son auteur. « Je vous crois sur parole. LaHeur est exactement représentée; mais je puis mêtre trompépour la classification. » Cet arbre, dont bien des Européennes seraient heureuses 1. Nayaut aucun titre pour intervenir dans cette grave discussion, nous nousbornerons à rappeler que, botanistes et gens du monde, on nomme acacia deuxgenres très différents de la famille des légumineuses ; et, de plus, que notrefaux acacia des jardins, ou robinier, appartient à la section des papilionacées. J. B. LES FILLES DU ROI DES AMBOUELAS. 367 de posséder les fleurs délicieuses, je ne lavais jamais vuauparavant et je lai vainement recherché en approchant dela Ninda. Il y avait encore dans la foret un arbre qui avait éveillémou attention, non plus, cette fois, pour le parfum de sesfleurs, mais à cause de lexcellent goût de ses fruits. Cestcelui que les indigènes appellent opoumbouloumé. Par lap-parence, ce fruit ressemble fort à celui du mapolé ; mais il. Lopoumbouloumé. en diffère par le goût, et larbre qui le produit est toutautre. Laspect de la Couchibi nest pas le même que celui desautres affluents de la Couando, au moins jusquau point oùje les ai suivis. Elle coule au milieu dune vallée longue etenfermée entre les pentes douces de montagnes couvertesde bois épais. La vallée est parfaitement sèche, nullementmarécageuse comme le sont presque toutes celles quarro- .108 COMMENT JAI TRAVERSE LAFRIQUE. sont ses pareilles dans le sud-ouest de lAfrique, et de tempsà autre elle sélargit jusquà huit kilomètres. La rivière y décrit des méandres, non en courbes de petitrayon comme la Coubangui, mais en ondulations dont lalongueur la font, à distance, paraître presque droite. Des herbes vigoureuses couvrent en abondance ses rives,mais elles sarrêtent aux berges escarpées qui bordent sonlit, oii leau coule pur
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