. La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. tion; en les rapprochant on a cru longtempsquil sagissait dune monnaie dor : Pollux même le le duc de Luynes a démontré que cest une effet, la monnaie dargent syracusaine, au temps deGélon, avait pour principale division le didrachme, de poidsattique, qui se subdivisait en dix unités de 0-r87, équi-valant à la livre de bronze. Par conséquent, le démarétionvalant 10 drachmes attiques (pentecontalitron daprèsson poids) ne pouvait être quune pièce dargent cinq foisplus forte que le didrachme. C


. La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. tion; en les rapprochant on a cru longtempsquil sagissait dune monnaie dor : Pollux même le le duc de Luynes a démontré que cest une effet, la monnaie dargent syracusaine, au temps deGélon, avait pour principale division le didrachme, de poidsattique, qui se subdivisait en dix unités de 0-r87, équi-valant à la livre de bronze. Par conséquent, le démarétionvalant 10 drachmes attiques (pentecontalitron daprèsson poids) ne pouvait être quune pièce dargent cinq foisplus forte que le didrachme. Cétait donc un déca-drachme et il faut admettre que Dèmarète a fait frappercette grande monnaie dargent seulement avec le prix delor quelle avait reçu sous forme de bijoux. Une monnaiedor du poids donné par les auteurs au démarétion neserait pas vraisemblable. Daprès ces données, le duc deLuynes a proposé de reconnaître le démarétion dans desuperbes décadrachmes syracusains, de poids attique et destyle archaïque, dont quelques exemplaires somt parvenus.


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