Annales de la Société entomologique de France . 3; chez lesCybister, cet axe est sensiblementperpendiculaire à la direction de la base cd de larea; le rapport de lahauteur l de larea, suivant ab, à sa largeur L suivant cd caractériselarea de façon satisfaisante; chez les Cybistrides, ce rapport est tou-jours inférieur à 1 ; il nest nul que chez Spencerhydrus. Si on définitde la même manière laxe du tarse chez les Colymbétides, la directionde plus grande largeur (la base) de larea lui est en général tarses de la plupart des espèces de Cybistrides et de quelques Colymbétides sont fig


Annales de la Société entomologique de France . 3; chez lesCybister, cet axe est sensiblementperpendiculaire à la direction de la base cd de larea; le rapport de lahauteur l de larea, suivant ab, à sa largeur L suivant cd caractériselarea de façon satisfaisante; chez les Cybistrides, ce rapport est tou-jours inférieur à 1 ; il nest nul que chez Spencerhydrus. Si on définitde la même manière laxe du tarse chez les Colymbétides, la directionde plus grande largeur (la base) de larea lui est en général tarses de la plupart des espèces de Cybistrides et de quelques Colymbétides sont figurésschématiquement de la ma-nière suivante (fig. 2) : la-rea est rapportée aux deuxaxes ab et cd ; si le tarse estétalé, sa longueur est tou-jours comptée suivant laxeab, sa largeur suivant la di-rection cd, à lendroit leplus large du tarse. Il étaitnécessaire de préciser la dé-finition de la longueur dutarse, en raison de lexistencede formes où langle a étanttrès éloigné du talon, cettelongueur conventionnelle. Fig. 3. — Représentation schématique desaxes {A, A, B) et de larea (A. P.). diffère notablement de la longueur réelle de lorgane. B. — Étude du type symétrique (pi. 8, f. 6. 7. 8; pi. 9, f. 10 à 15). 1° Les caractéristiques essentielles de ce type de tarse étant déjàdonnées, il ny a plus quà revenir sur quelques points. Les ventouses sont toujours régulièrement hémisphériques, et in-sérées normalement à la face inférieure du tarse. Chez tous les typesconnus, elles sont protégées par une corbeille complète de soies mar-ginales, et le plus souvent la différenciation en soies marginales etsoies basilaires est peu marquée. 2° Structure de la ventouse (fig. 4). Au maximum de diffé-renciation, chez le genre Dytiscus, par exemple, les grandes ventouses Sur le tarse des Dytiscides. 417


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