. Histoire naturelle des drogues simples : ou Cours d'histoire naturelle professé a l'École supérieure de pharmacie de Paris . qui ma paru montrer que ni les vésicules muqueuses,ni les cryptes du derme ne peuvent être considérées comme des organes pul-monaires. Mais ces deux sangsues, qui étaient suspendues par leur disque pos-térieur, la tête en bas, et qui ont conservé tout le temps la même position,ont offert, dans la partie la plus élevé du dos et dans un endroit répondant àlextrémité dun des cœcums, une bosse considérable qui était due à la dilatation dun gaz intérieur ; car elle a dispar


. Histoire naturelle des drogues simples : ou Cours d'histoire naturelle professé a l'École supérieure de pharmacie de Paris . qui ma paru montrer que ni les vésicules muqueuses,ni les cryptes du derme ne peuvent être considérées comme des organes pul-monaires. Mais ces deux sangsues, qui étaient suspendues par leur disque pos-térieur, la tête en bas, et qui ont conservé tout le temps la même position,ont offert, dans la partie la plus élevé du dos et dans un endroit répondant àlextrémité dun des cœcums, une bosse considérable qui était due à la dilatation dun gaz intérieur ; car elle a disparu immédiatement par la rentrée delair dans la cloche. Cette expérience me paraît montrer que les sangsues peu-vent renfermer de lair dans leur canal intestinal. IIIRUDINÉS. 301 ventouse est légèrement sillonnée (fig. 1012).Toutaufond,se trou-vent trois plis longitudinaux qui, à létat de repos, ont leursbords rapprochés et cachent les mâchoires. Mais lorsque lasangsue veut mordre, ces plis sefiacent et laissent paraître lesmâchoires, qui sont égales, rapprochées par leurs extrémités U. Fig.


Size: 2249px × 1111px
Photo credit: © Reading Room 2020 / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1870, booksubjectnatural, bookyear1876