Revue de l'art chrétien . juillet i8ç^. — Dans une com-munication sur Une pierre tombale du AVsiècle, découverte au cours de travaux exécutésen 1865 dans léglise Notre-Dame de Bar, etreprésentant le combat de saint Georges et duDragon, aux abords dune ville dont les rem-parts se dressent à lhorizon, M. Maxe-Werlydiscute lhypothèse émise autrefois par M. , qui inclinait à voir dans ces fortificationsla Porte-aux-]5ois de Bar et, dans la scène repré-sentée, une allusion à quelque délivrance de laville haute alors quelle aurait été assiégée. Touten renonçant à sexpliquer les circonstance
Revue de l'art chrétien . juillet i8ç^. — Dans une com-munication sur Une pierre tombale du AVsiècle, découverte au cours de travaux exécutésen 1865 dans léglise Notre-Dame de Bar, etreprésentant le combat de saint Georges et duDragon, aux abords dune ville dont les rem-parts se dressent à lhorizon, M. Maxe-Werlydiscute lhypothèse émise autrefois par M. , qui inclinait à voir dans ces fortificationsla Porte-aux-]5ois de Bar et, dans la scène repré-sentée, une allusion à quelque délivrance de laville haute alors quelle aurait été assiégée. Touten renonçant à sexpliquer les circonstances pré-cises auxquelles peut se rapporter la scène re-présentée, M. Maxe estime quil sagit là dunfait de guerre dans lequel aurait paru avec éclatle personnage dont le nom figure sur cette dalletumulaire, « COLLIN AIassev », homme darmesau service de Fleury de Neufchâtel, lequel étaitconseiller et chambellan du roi de France et futgouverneur de Bar du mois daoût 1480 au moisde mars ?^. ^ ^. ^^ ^ ^. ^. ^. ^. ^^. ^ ^. ^^. ?^. ^ ^. ^. ^. ^S^. ^^. ^ ^ :^^ ^ -^^^ h ^^m^mwm^m Biblicgrapliie* miësm^m^m WWWWWWWWWWWWWWWWWWWW^^^r^?r^^?W^ LA FRANCE ARTISTIQUE ET MONUMEN-TALE (Société de lArt français). — Paris, Librairieillustrée, t. III et IV. (2e article.) ^^^^^4ÇN peut deviner le soin, presque la-g mour,serait-on tenté de dire, avec le-E quel est étudié ici le château de Blois,te quand on lit, au bas des pages qui luir:^ sont consacrées, la signature du re-gretté Léon Palustre. Les bois les plus fins, leshéliogravures les plus délicates, accompagnentun texte irréprochable, tel dailleurs que savaitles donner léminent historien de la Renais-sance en France.
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