Nouveau traité d'instrumentation . frfrm^ %Hf^ff Ah! se mitor _ no aquestur - na fu mrrTî Vingt ans plus tard, le vieil instrument étant définitivement abandonné, Mozart le remplace,en tant que soprano des trombones, par des hautbois et des clarinettes jouant à 1 trois quarts de siècle lorchestre allait être privé de tout instrument à embouchurecapable de chanter dans létendue de la voix de femme une-simple gamme diatonique. il) La partition italienne dAleeste, postenen/e à VOrfeo de quatre au* (1766.), ne montre aucune trace de Comttto, bien quen beau-coup dendroits les trois
Nouveau traité d'instrumentation . frfrm^ %Hf^ff Ah! se mitor _ no aquestur - na fu mrrTî Vingt ans plus tard, le vieil instrument étant définitivement abandonné, Mozart le remplace,en tant que soprano des trombones, par des hautbois et des clarinettes jouant à 1 trois quarts de siècle lorchestre allait être privé de tout instrument à embouchurecapable de chanter dans létendue de la voix de femme une-simple gamme diatonique. il) La partition italienne dAleeste, postenen/e à VOrfeo de quatre au* (1766.), ne montre aucune trace de Comttto, bien quen beau-coup dendroits les trois voix- inférieures du choeur soient renforcées par des tromboues. ( Dans la version française ce redoublement estsupprime presque partout.) <2! Cette partie est notée en clef de soprano, ut, 1 ligue 8854. a. 248 Hautbois etClarinettes Trombone aitTrombone tenor Trombone basse STATUA del CÙMMASDATORE Violoncelleset Cou( r<-basses TROMBONES A COULISSE. DON GIOVANNI,IIeacte, Scène du cimetière/ Depuis Gluck les trois trombones étaient devenus le complément indispensable de linstru-mentation dramatique et, pour ainsi dire, sa marque distinctive: la symphonie classique na-dopta pas une sonorité aussi prépondérante. Réservés à lorigine pour des sujets dune hauteportée tragique, pour des situations extraordinaires, les trombones se virent bientôt appelésà des fonctions moins spéciales; Spontini les fit servir à rehausser Péclat des choeurs etdes ensembles-, lecole rossinienne les prodigua outre mesure et jusquau point de les dé-pouiller de toute leur poésie. Cette extension graduelle de leur usage amena un changement dans la composition du habitude séculaire de réunir les trois diapasons caractéristiques, disposition excellente quipermettait à chacun des instruments de se mouvoir dans la meilleure partie de son échelle,fut abandonnée à la longue, en considération surtout de la fatigue quéprouvaient les
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