. comptesrendusheb90acad. es naturelles. ( 127 ) service ou plutôt à cause de ce nombre. II était doue naturel de chercher une défense dans des fossés maintenus pleins d'eau, et, après divers essais, on reconnut que la taille à la haclie était très lente, difficile avec une grande épaisseur, et qu'elle couvrait les hommes de gouttes d'eau projetées et bientôt gelées quand on arrivait à la partie inférieure. On eut alors l'idée de faire des scies avec de la tôle de o'", oo3 à o'",oo5, coupée siiiiplement à la tranche, ayant sur leur plat un trou à la partie inférieure


. comptesrendusheb90acad. es naturelles. ( 127 ) service ou plutôt à cause de ce nombre. II était doue naturel de chercher une défense dans des fossés maintenus pleins d'eau, et, après divers essais, on reconnut que la taille à la haclie était très lente, difficile avec une grande épaisseur, et qu'elle couvrait les hommes de gouttes d'eau projetées et bientôt gelées quand on arrivait à la partie inférieure. On eut alors l'idée de faire des scies avec de la tôle de o'", oo3 à o'",oo5, coupée siiiiplement à la tranche, ayant sur leur plat un trou à la partie inférieure pour y atta- cher un boulet estropé, tandis qu'en haut la tôle, chauffée, avait éié gauchie et retournée pour former une douille dans laquelle passait une traverse en bois pour mettre quatre hommes, comme sur lesbringueballes des pompes à incendie. La denture était grosse comme celle d'un harpon, mais trian- gulaire au lieu de pointes séparées et pas ou peu inclinée vers le bas. La longueur était de a'" environ. Tant que la glace fut dure avec des froids au-dessous de â 20°, ces scies ne mordaient guère et le travail était lent, mais elles s'émoussaient peu et il fallait rarement les limer. » On les employa d'abord à découperdesparallélépipèdes de la dimension des grosses pierres de taille sortant des carrières deParis, et, quand ils étaient détachés,on passait dessous des cordes en trévire, comme pour monter ou descendre des barriques, et avec des barres de cabestan ou des avirons on. soulevait le bloc sur la glace. C'est ainsi que chaque navire était entouré d'un fossé de 3" environ ou plus, en conservant quatre nervures pour le rendre immobile et permettre ainsi le pointage anticipé en cas d'attaque. Il fallait casser la glace jusqu'à deux fois par nuit pour maintenir la nappe Please note that these images are extracted from sca


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