L'illustration : journal universel . u moment où le char dApollon des-cend dans lenceinte, emporté par quatre coursiers enru-banés, aussi impétueux (jue lEoiis chanté par (Kide. siles Heures et les Saisons, courant sur leurs traces commedans le tableau du Guide, ne parvenaient à modérer leurardeur. Deux Hyades, attachées au char comme deux aileset tenant le bout do lccharpo dIris, Hottent suspenduesdans les airs sans autre point dappui visible que lépaule du plafonds de \ersailles. Nous avons nommé lautour de cprocédé miraculeux. 11. Clavières; les noms mortels desylphides, mesdemoiselles Céle
L'illustration : journal universel . u moment où le char dApollon des-cend dans lenceinte, emporté par quatre coursiers enru-banés, aussi impétueux (jue lEoiis chanté par (Kide. siles Heures et les Saisons, courant sur leurs traces commedans le tableau du Guide, ne parvenaient à modérer leurardeur. Deux Hyades, attachées au char comme deux aileset tenant le bout do lccharpo dIris, Hottent suspenduesdans les airs sans autre point dappui visible que lépaule du plafonds de \ersailles. Nous avons nommé lautour de cprocédé miraculeux. 11. Clavières; les noms mortels desylphides, mesdemoiselles Céleste, Ama^lia et Paganiniméritent la même distinction. On nest pas plus courageusavec phis de j;ràce. Deux ascensions ont si bien profité à ces demoiselles elM. Clavières, cjuune troisième aura lieu demain jeudi, qiétait hier, cl on parle dun enlèvement gigantesque el dunfête monstre pour dimanche au Champ-de-Mars. LHippcdrome fait comme ses syl|ihides, il étend son horizon (souvre limmensité. Philippe Bisom. Caillera dune éli-ve de Kalnl-nenla. Nous annonçons sous ce titre un Cours détudes complet etgradué pour les filles, par deux anciennes élevés de la mai-son de la l,è;;ion dhonneur, avec la collaboration de M. Haude,ancien professeur au collège Stanislas. Voici la préface quidoit priiiéder le premier volume : il Léducation piihliquc ou privée des jeunes personne.! pèche,en général, par le défaut de méthode; et si elle échappe à lanéRlidcnrc, ce nest que pour tomber dans un luxe scientifiquequi nalioiitit le plus souvent quà la stérilité. Cela tient à ceque, soit tlans la (ainille, soit dans la plupart des maisons dé-ducation, la direction <le leurs éludes manque essentielleuient traditions i las^icpies, qui assignentil chaque chose sou temps,et sounietleiil leiisii^jnenient k cette |! naturelle, qui enest la première loi et la plus sère garantie. Vt\ ouvrage, qui ré-pondit à ce besoin, était à fair
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