Traité d'anatomie humaine : anatomie descriptive, histologie, développement . tylo-glosse. — 8, hyo-glosse. — 9, my lo-hyoïdien.— lO, pé-ristai)Iiylin exlerno. — 11, périslaphy lin interne. — 12. buccinateur. — l:i. aponévrose buccinato-pharyngienne. — 14. crico-thyroïdien. A. Muscles constricteurs. — Les musclesconstricteurs sont au nombre de trois, que londistingue en supérieur, moyen et inférieur. Ilsse disposent suivant des plans différents etsimbriquent de bas en haut à la manière destuiles dun toit. Linférieur est le plus superfi-ciel ; il recouvre en partie le moyen qui est placé en ava
Traité d'anatomie humaine : anatomie descriptive, histologie, développement . tylo-glosse. — 8, hyo-glosse. — 9, my lo-hyoïdien.— lO, pé-ristai)Iiylin exlerno. — 11, périslaphy lin interne. — 12. buccinateur. — l:i. aponévrose buccinato-pharyngienne. — 14. crico-thyroïdien. A. Muscles constricteurs. — Les musclesconstricteurs sont au nombre de trois, que londistingue en supérieur, moyen et inférieur. Ilsse disposent suivant des plans différents etsimbriquent de bas en haut à la manière destuiles dun toit. Linférieur est le plus superfi-ciel ; il recouvre en partie le moyen qui est placé en avant de lui ; le moyen, à sontour, recouvre en partie le supérieur qui est le plus profond des trois. 1 Constricteur supérieur. — Le constricteur supérieur (fig. 27,5), de formequadrilatère, occupe le tiers supérieur du pharynx. Il prend naissance en dehors :1° sur la partie inférieure du bord postérieur de laile interne de lapophyse pté-rygoïde et sur le crochet qui la termine ; 2° sur le ligament ptérygo-maxillaire, qui PHARYNX 53. sétend du crochet ptérygoïdien à lépine de Spix el qui donne insertion, dautrepart, aux faisceaux moyens du buccinateur ; 3° sur la partie postérieure de la lignemylo-hyoïdienne. — Parties de ces dififérents points, les fibres constitutives du cons-tricteur supérieur, grossies de quelques faisceaux venus de la langue (voy. t. II,Pharyngo-glossé), se dirigent horizontalement en dedans et arrivent à la lignemédiane oîi elles se terminent : les unes, en sinsérant sur laponévrose pharyn-gienne et en formant ce quon est convenu dappeler le raphé pharyngien ; lesautres, en sentre-croisant avec leurs homologues du côté opposé. — Il est àremarquer que le bord supérieur du muscle ne remonte pas jusquau crâne : il enest séparé par un intervalle de 10 à 12 millimètres de hauteur, intervalle qui estcomblé par la partie la plus élevée de laponévrose pharyngienne (fîg. 27,1). i° Cons
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