Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages . ªtre fait un nom parrendaient le même fervice. On peut fes fervices militaires, nommé profef-voir en confultant les articles, les feur à Pavie, léloquence rare, le fa-correfpondances, les biographies, les voir dont il donna des preuves, accru-notices de Bayle, Chaufepié, O. Brum- rent fa renommée, le firent appeler à fels, Camerarius, Erafme, Haller, la Cour de Philippe dUberftein,
Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages . ªtre fait un nom parrendaient le même fervice. On peut fes fervices militaires, nommé profef-voir en confultant les articles, les feur à Pavie, léloquence rare, le fa-correfpondances, les biographies, les voir dont il donna des preuves, accru-notices de Bayle, Chaufepié, O. Brum- rent fa renommée, le firent appeler à fels, Camerarius, Erafme, Haller, la Cour de Philippe dUberftein, Nicéron, C. Meiners, &c que prince archevêque de Cologne, au- Stromer, Ricius, Copus, & parlent près duquel il jouit dun immenfe dUlric avec la même bienveillance, crédit. avec le même enthoufiafme quil ap- (2) On connaît notre opinion fur porte lui-même vis-à -vis deux dans ces idées fi abfolues de Hutten ; nous cet opufcule. croyons cependant devoir encore J. Ebellius, dont les oeuvres mé- faire nosréferves: les redites de lau- dicales & philofophiques, écrites en teur commandent les nôtres. CHAPITRE XIV. Qi/^/ eji le Temps le plus favorable pour tadminijlranondu Gayac ?. j EXPERIENCE a prouvé quil vautmieux fuivre le traitement en été quenhiver. Ainfi que la dit Galien, les li-quides ont, à cette époque, une plusI grande aélivité, leur circulation efl: plusibre (1)5 les \\MmQms peccames séliminent plus aifé-ment(2)5 les principes falutaires fe féparent alors plus fa- (1) Galen. Ars medicinalis : [Cap, tre humeurs primitives : le fang, la pi-De morborum caujïs; ieinaqualiîem- tuite, la bile jaune, la bile noire ouperat. In Hipp. comment, iv). latrabile. Selon cettedodrine, le fang (2) Le médecin de Pergame, & produit par la nourriture, compoféaprès lui fon école, admettaient qua- des éléments les plus fimples, fervait CHAPITRE XIV. 97 cilementde ceux qui
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