. Tableau de l'histoire générale des Provinces-Unies. Cet-te réprefentarion fit impreflion, il paraîtque depuis ce te m s-, les deux nations ferelâchèrent (ur cet^rticle. Les Anglaisavaient befoin des laines les deux nations nayant rien à fereprocher, continuèrent à enfreindrelesloix quelles sétaientimpofées. Tantil eft vrai que tout ce qui tend à don-ner des entraves â la liberté eu com-merce eft toujours éludé !Pendant lhiver, les Etats-GénérauxRevêtu©*»5 5 7 5 Gif erre pour la &c. formèrent des ordonnances pour obvier1^09. aux plaintes élevées de tous côtés fur lerelâchement
. Tableau de l'histoire générale des Provinces-Unies. Cet-te réprefentarion fit impreflion, il paraîtque depuis ce te m s-, les deux nations ferelâchèrent (ur cet^rticle. Les Anglaisavaient befoin des laines les deux nations nayant rien à fereprocher, continuèrent à enfreindrelesloix quelles sétaientimpofées. Tantil eft vrai que tout ce qui tend à don-ner des entraves â la liberté eu com-merce eft toujours éludé !Pendant lhiver, les Etats-GénérauxRevêtu©*»5 5 7 5 Gif erre pour la &c. formèrent des ordonnances pour obvier1^09. aux plaintes élevées de tous côtés fur lerelâchement de la discipline militaire. xies Us enjoignirent fur-tout à leurs Députésiuriadisci- à larmée une plus grande déférence auxtaire ^•fa des Commandans en Chef; & ceft à ce règlement que lon dût une har- fvWfr&c nionie P,us êrande , entre les Officiers 3 Anglais & ceux des Etats, & peut-être les fuccès brillans qui couronnèrent les efforts des deux armées pendant cette>- 179NÉGOCIATIONS POUR LA PAIX DUTRECHT. JL/cpuis huit ans la France foutenaitcontre une ligue pui liante qui trouvait des 7°9«reflburecs dans Ton union, une attaque qji laurait acCablee,quund elle aurait con- é fon ancien bonbeur. Ion- .mtp,c dcgueurde la guerre, des efforts extrêmes a rance*pour faire face a tant dEnnemis à la fois,la grandeur &. la multitude des reversefluyes, la rigueur des faifons qui rui-nait lefpoir des récoltes, lavidité desTraitans, la mifere, la ds_foation, le dé-couragement dans tous les ordres de lE-tat , rendaient la paix neccflàire. Pour^c procurer des rellburces, Louis XIVsVtait, dès lan 1707, vu obligé derefondre les espèces & de hauster lavaleur du numéraire, moyen ruineuxqui portait un coup mortel au cré-dit. Les fources du commerce étaienttaries, les finances épuises; la faminefc joignant a ces tkaux, avait jette tou-te la France dans la dernière calamité ^11 6 iScr Négociations
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