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Bayard à Mézières, opèra comique, en un acte . ï ^ ? # - # s Jlë fais se a tous deux la m +^-~- crainte, ie a çl ^==t £ -0- -M- 3= laisse a tous deux 1 es 1 m poir, a tous 22= ~G- ?f*- m^Ê | deux les- poir, a tous -£=£. -&- 75. FageB Mad. de TAVANNES . Eh bien! Messieurs, voilà de nobles sentirmens1. Allons, cela dépend de vous, faiteslever le siège, nous couronnerons alors lundes deux , et nous donnerons la belle echar-pe. MONTMORENCY. Ah! Madame, que cette parure ne soit pasun vain ornement pour celui qui la rece-vra. Différez de la lui donner jusquaupremier combat , mais quelle soit alors sontalisman, son égide, quelle le rende invin-cible, quelle double sa force, son courage,et quelle préserve son coeur des atteintesdu fer ennemi. BAYARD- Madame, il a raison,- cest lécharpe dé 1 Madame de Randan, sur le coeur, que je triom-phai de Sotomayor. Mad. de bien ! venez donc la réclamer avant lepremier combat. SCÈNE X. Les Mêmes ! Malédiction , Chevalier, pendant queje recevais vos ordres, ces coquins de Lans-quenets sont descendus par la brèche, onttraversé les gués de la Meuse et se sontjettes dans le camp ennemi: jai tué lesderniers qui se sauvaient, cest tout


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