. Radium; la radioactivité et les radiations, les sciences qui s'y rattachent et leurs applications . ndes sont visibles sur des photographies au repos, maisdisparaissent à cause de leur faible intensité dans des pho-tographies en mouvement. M. lîoyds a réussi à analyser de pins piés h^ phéno-mène, qui est particidièiement net avec le bismuth et leplomb. La tig. 1 schématise les résultats lournis par les cli-chés (dont les reproductions, dailleurs, sont peu déchif-frables). Les lignes en traits pleins représentent les traî-nées lumineuses lais-ées sur la plaque par h s dillcrentesdécharges par
. Radium; la radioactivité et les radiations, les sciences qui s'y rattachent et leurs applications . ndes sont visibles sur des photographies au repos, maisdisparaissent à cause de leur faible intensité dans des pho-tographies en mouvement. M. lîoyds a réussi à analyser de pins piés h^ phéno-mène, qui est particidièiement net avec le bismuth et leplomb. La tig. 1 schématise les résultats lournis par les cli-chés (dont les reproductions, dailleurs, sont peu déchif-frables). Les lignes en traits pleins représentent les traî-nées lumineuses lais-ées sur la plaque par h s dillcrentesdécharges parties de lélectrode négative à chaque demi-période des oscillations qui accompagnent lélitic^lle. Leslignes pointillées sont les traînée? lumineuses partanl delélectrode positive; elles sont généralement très faibles,sauf quand la première traînée dune série part duneélectrode positive. I. Scursiiai et /Ai/. 7,«/h».. ,S1I!I-.\. (Considérons donc les Irainéis issues duni élcdrodinégative. Dans lensemble elles se composent dabord dune. liK. 1. partie recliligne veiticale, puis elles sincurvent, de sorteque les premières seplacent dans le prolon-gement les unes desautres; leur enveloppe,particulièrement bid-lante, constitue la raieiloublement inclinéeobservée par et le détail, on couslale aussi qna\anl lapartie rectiligne b^Iraiuces présententune petite incmvationtrès prononcée (jui ]ieut aller jusquà - de millimètre de lé-lectrode. De la séparation desdillërentes traînéescorrespondant aux os-cillations dans létincelle, il résulte daliordipie la vapeur ne reste pas lumineuse beaucoup plus longtenqis i|ue ne dure los-cillation. teci na pas lieu avec certaines lignes de létin-celle jaillissant entre électrodes de calcium. M. Koyds interprèle les photographies quil a obtenues,delà manière suivante : dès le commencement de la décharge,de la vapeur métallique ditluse
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